Une nouvelle mascotte?
La marmotte se fait discrète, mais on dirait bien qu’une nouvelle mascotte est apparue dans le voisinage…
En fait, on a aperçu des lièvres de temps à autre dans le voisinage ces dernières années, mais depuis quelques jours, on croise celui-ci chaque fois qu’on sort! On dirait bien qu’il a adopté notre rue.
Maintenant, on saura qui blâmer si les carottes disparaissent du potager!
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bien mignon… mais j’espère que tu as encore ton scarecrow! ;-)
belle photo avec les rudbeckies en premier plan, en passant! :-)
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Hmmm, je vois, dans ma boule de cristal, que la prochaine recette de la section « délices » sera du lapin ;o)
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Tiens. Nous en avons un aussi et il se prénomme Surprise! Les enfants sont ravis. Fanny l’a-t-elle aperçu?
Tarzile
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Ici, la municipalité s’est fait bouffer des plants de cosmos (et peut-être autre chose) par les lapins. Je t’espère que les lièvres sont plus sélectifs!!!
À date, ya pas de bebitte à poils qui bouffe chez moi, je croise les doigts… -
Bergamote, j’oserais pas ;-)
Tarzile, oui, Fanny l’a vu, et elle l’imite en avançant ses petites dents et en faisant «gnt gnt gnt» (dur à écrire, hein, le son du lièvre?) On va essayer de crier « Surprise » en le voyant, peut-être que c’est le même? :-))
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moi non plus, Martine, je n’oserais pas. Pourtant, les lapins cuisinés par ma grand-mère sont délicieux.
Tu n’as pas peur que Fanny associe « surprise » à « lapin » (après « couscous » à « jupe virevoltante ») ? ;-) -
Martine, as-tu lu dans La Presse le spécial sur ces petites bestioles qui envahissent notre urbanité? Disons que j’ai pensé à toi et à ta ménagerie.
T.
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Non, je ne l’ai pas lu! C’était quand?
Entre toi et moi, quand je vois tous les nouveaux quartiers qui poussent comme des champignons, j’ai l’impression que c’est plutôt notre urbanité qui est l’envahisseuse dans tout ça, et que ces petites bêtes font ce qu’elles peuvent pour s’installer ailleurs (et l’ailleurs se retrouve souvent à être dans nos jardins…)
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Les lièvres ont malheuresement désertés la campagne, là où les renards sont de retour en force (effet Bardot oblige), au profit de la banlieue.
Celui-là est d’une belle génétique! Je le prendrais bien en pension chez nous; mon petit buck Nouvelle-Zélande prend un temps fou à se faire une carcasse!
(Ben oui, après les coqs à chair, le bouc et les pondeuses, je suis rendu éleveur de lapins!)
Vous aimez le blogue? Il y a maintenant le livre, publié en 2010 chez Trécarré!
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