Image Image Image Image Image Image Image Image Image Image

Banlieusardises

Remonter

Haut

terre cuite - 3/4 - Banlieusardises

Cocotte à croquer, en forme de poivron jaune

17 décembre 2005 |

On salive toujours devant un bon plat, mais il arrive aussi qu’on salive devant un beau plat. C’est ce qui m’est arrivé en découvrant cette cocotte de fonte émaillée en forme de poivron jaune.

Vous me direz que c’est … Suite

Poulets de Cornouailles au scotch et aux morilles

4 décembre 2005 |

Je cuisinais pour deux. Un poulet de Cornouailles de dimension respectable nourrit facilement deux personnes. Alors pourquoi diantre ai-je préparé deux poulets? Eh bien d’abord parce que tant qu’à en cuisiner un, ce n’est pas plus long d’en faire deux, et d’avoir ainsi un repas en banque pour le lendemain. Ensuite, parce qu’un seul poulet de Cornouailles se serait retrouvé un peu perdu dans ma cocotte de terre cuite, et aurait ainsi pu s’assécher en cuisant. Enfin, parce que j’ai besoin de refaire un stock de bouillon de poulet, et que je voulais donc avoir des os en quantité. Et puis bon, pourquoi ai-je à ce point besoin de justifier le nombre de poulets cuisinés, hein? Alors, passons!

Ce qui importe, c’est le résultat. Et quel résultat! J’ai farci les bêtes d’un mélange de pain, de céleri, d’oignon, de scotch et de poivre vert, je les ai enfarinées, les ai faites dorer à la poêle, puis les ai laissées cuire longuement à la cocotte. La chair était tendre, goûteuse, juteuse et le mariage des saveurs, très intéressant. J’irais jusqu’à dire que c’était le meilleur poulet de Cornouailles que j’aie préparé à ce jour. Mais ne me croyez pas sur parole: essayez-le!

Poulet-de-cornouailles-au-s.jpg

Suite

Ragoût de boeuf à l’orange

27 avril 2005 |

Ragout-de-boeuf-a-l'orange-.jpgJe le déclare tout de go: la cocotte de terre cuite est une précieuse alliée de la nouvelle maman, après, bien sûr, le doux, l’entourage immédiat et toute personne qui fournit aimablement quelques plats pour sustenter la maman à la maison qui se remet d’un accouchement!

Eh oui! J’ai enfin trouvé le temps de cuisiner pour le souper d’hier, entre deux séances d’allaitement, de lavage de couches, de goulis-goulis avec la petite et de dodo. Cuisiner est un bien grand mot: je me suis contentée de fourguer quelques bons ingrédients dans la cocotte de terre cuite, et la lente cuisson au four a fait le reste pour nous fournir un bon repas réconfortant. Ah, si, il y a aussi le doux qui s’est chargé de nous popoter un accompagnement de fenouil à l’orange, et ma mouman qui avait laissé des carottes et des pommes de terre pilées.
Suite

Soupe aux pois et aux légumes

31 août 2004 |

Mes envies de comfort food continuent de fluctuer en suivant une courbe inverse à celle de la météo: j’en veux quand il fait froid, et je retourne au pesto quand il fait chaud!

Hier, un bout de flanc de porc rencontré au supermarché m’a incitée à refaire la soupe aux pois de mon père… Cette version est pareille à la sienne à quelques détails près: j’ai légèrement varié les quantités et troqué l’eau pour le bouillon de poulet (pour une saveur plus intense). J’ai cuisiné le tout dans ma cocotte de terre cuite, et ça m’a semblé donner une bien meilleure texture à la soupe que lorsque j’utilisais ma marmite en acier inoxydable… imaginez le jour où j’aurais une véritable jarre de grès ;-)
Suite

Poulet à la moutarde et à la bière en cocotte

21 août 2004 |

Est-ce bien une température de saison que nous avons ces jours-ci? Peu m’importe, au fond, qu’elle soit normale ou non: je la trouve trop frisquette. Moi qui attendait le mûrissement des tomates pour concocter de délicieux gazpachos, je me retrouve plutôt à les utiliser dans des plats longuement mijotés, ressortissant même le plat de terre cuite en plein mois d’août!

Ce fut une occasion d’utiliser quelques bons légumes du potager: une belle grosse botte de bette à carde, des tomates du jardin (deux noires de crimée et ma mystérieuse jaune côtelée), une gousse d’ail éléphant… miam! C’est donc bon de cuisiner avec des ingrédients aussi frais!
Suite

Ragoût de boeuf aux carottes et aux herbes

1 novembre 2003 |

Après plus d’un mois à cuisiner systématiquement un repas par semaine au « diable » (cocotte en terre cuite), je crois qu’on peut résolument parler d’une habitude. C’est simple, c’est bon, c’est tendre… et ça permet d’économiser la semaine en ayant quelques bons lunches sous la main!
Suite