entrée - 3/8 - Banlieusardises
Croquettes de fromage bleu à l’abricot
27 octobre 2008 | Martine GingrasCe samedi, nous avions 4h sans les enfants avant, pendant et après le repas du soir. Mission: fêter nos 12 années d’amouuuuuur aussi plaisamment (et rapidement) que possible ;-)
Dans la journée, le doux avait attrapé une demi-bouteille de Veuve Cliquot, qui déjà donnait un peu le ton à la soirée. Alors après avoir reconduit les filles chez mes parents, nous sommes allés à la pêche aux huîtres fraîches (à l’épicerie, bien sûr, sans quoi on y aurait mis un peu plus que les 4h prescrites): une caisse de Caraquet Fancy Gourmet, quelques Raspberry Point (qu’on aime toujours autant) et aussi un nouvel essai: la North Point.
Au retour à la maison, pendant que le doux s’attaquait au nettoyage et à l’ouverture des huîtres, je résistais tant bien que mal à l’envie de ramasser les jouets épars, plier des couches, faire le ménage du frigo… Plutôt mal que bien, à dire vrai. Il faut dire que je ne suis pas habituée à ne pas être en charge de la cuisine…
Je devais trouver de quoi m’occuper et vite, d’où l’idée de préparer une petite entrée rapide: des croquettes de fromage fondu.
C’est une recette toute simple de fromage pané, que j’ai faite avec un bleu à l’abricot (j’aime bien cette série de Rosenborg, aussi offerte en version à la poire ou aux canneberges), mais qu’on pourrait très bien imaginer avec un autre type de fromage (comme le chèvre, le brie ou le camembert — Pascale de C’est moi qui l’ai fait en proposait une version il y a quelques années)…
Vous remarquerez que mes carrés se sont légèrement affaissés… c’est que j’ai laissé mes croquettes un peu trop longtemps dans l’huile, alors le fromage a eu tendance à fuir! Pour des croquettes qui se tiennent un peu mieux, on limite le temps de friture au minimum. On peut aussi congeler les morceaux de fromage une quinzaine de minutes avant de préparer la recette (quand on n’est pas en pleine course contre la montre avant le retour des enfants!)
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Tomates vertes, basilic et bocconcini
8 septembre 2008 | Martine GingrasTomates, basilic et bocconcini: voilà un trio classique dont on ne se lasse jamais chez nous. Je vous avais déjà suggéré de présenter de petites bouchées de tomates miniatures, de basilic pourpre et de mini bocconcini sur des cure-dents (comme … Suite
Tapenade aux olives noires
1 septembre 2008 | Martine GingrasJ’ai une petite recette de tapenade à partager… mais je sais bien que c’est de l’arrière-plan dont vous allez vouloir me parler:
Parlant de conserves: vous allez me dire que c’est bien triste de faire ma tapenade avec des olives en boîte… mais c’est tout ce que j’avais sous la main pour concocter ma recette, et avec tous les bons ingrédients que j’y ai mis, le résultat était quand même nettement mieux que les tapenades ultra-vinaigrées qu’on achète toutes préparées!
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Hummus épicé (ou non), vite fait
4 mai 2008 | Martine GingrasL’hummus maison est si vite préparé qu’il n’y a absolument aucune raison de l’acheter tout fait. Bon, d’accord, il y en a une: ne pas avoir de robot culinaire. Bien sûr, on pourrait alors le faire au pilon, mais là, j’avoue que ce serait un tantinet plus fastidieux.
Pour le reste, «manquer de temps» n’est pas admis au nombre des excuses, car c’est aussi rapide de le préparer que d’ouvrir un emballage commercial. «Ne pas avoir les ingrédients sous la main» n’est pas non plus excusable: hormis les pois chiches, qui en sont la base, tout le reste de la recette peut très bien s’accommoder de variations au gré de ce qui traîne dans le frigo et sur les tablettes.
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Crevettes et tomates au piment d’Espelette
25 avril 2007 | Martine GingrasExit les plats mijotés, voici une autre recette qui goûte l’été. C’est une petite entrée toute simple dont le seul secret est de réunir de savoureux ingrédients frais: une belle tomate, des crevettes de Sept-Îles, du jus de citron, une bonne huile d’olive et une pincée de piment d’Espelette.
Le plus long, c’est de décortiquer les crevettes. Surtout si votre grande fille de deux ans se découvre une passion dévorante pour les oeufs, et refuse que vous vous attaquiez à la prochaine petite bête rose tant qu’elle n’a pas systématiquement vidé les petites perles précieuses de la précédente!
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Canard-melon balsamique
12 janvier 2007 | Martine GingrasLe canard séché est un péché mignon hors de prix lorsqu’on l’achète déjà préparé: une vingt-trentaine de petites tranches déjà préparées coûtent environ le prix d’un magret complet. Mais c’est un luxe finalement pas si tant pire pour le budget lorsqu’on le prépare soi-même! On ne le dégustera toutefois pas sur un coup de tête, puisque les magrets doivent d’abord passer 36h dans un mélange sel/sucre, puis une dizaine de jours à sécher (étape que j’ai déjà voulu accélérer en usant de mon génie et de mon déshydrateur, mais ce n’était franchement pas aussi bon).
Tant qu’à avoir les mains dedans, je prépare systématiquement deux magrets plutôt que juste un. Une fois une quinzaine de jours passés depuis le début des opérations, il ne reste généralement plus rien.
Sauf pendant le temps des Fêtes. Est-ce la faute à tous les autres succulents restes qu’il y avait au frigo? On n’arrivait pas à finir un magret de canard séché. Alors plutôt que de simplement le servir tranché, il a fallu que je renouvelle la présentation pour convaincre ma maisonnée d’en venir à bout. Je me suis donc lancée dans cette variation sur le thème du proscuitto-cantaloup, devenu un canard-melon pour les besoins de la cause:
C’est aussi simple à préparer que ça en a l’air, une fois qu’on a préparé le canard séché (ou qu’on s’est ruiné à l’épicerie…)
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