déshydrateur - Banlieusardises
Bouchées de truite confite (ou saumon confit)
10 janvier 2013 | Martine GingrasLe saumon confit (et ses multiples variantes), que je cuisine année après année dans mon déshydrateur, a un petit goût de revenez-y. Surtout quand on enfile plusieurs réceptions en quelques jours: qu’on soit reçu ou qu’on reçoive, c’est un petit … Suite
Truite confite contre saumon confit
18 novembre 2010 | Martine GingrasEn voyant de belles truites arc-en-ciel du Québec chez le poissonnier, j’ai eu envie de renouveler mon concept de saumon confit (un classique chez nous, tranché mince, mariné dans une sauce teriyaki maison puis séché de longues heures au déshydrateur). … Suite
Saumon séché confit à l’érable
21 décembre 2008 | Martine GingrasBeaucoup de grandes inventions furent le fruit du hasard: il n’y a qu’à penser aux rayons X, au célèbre petit Post-it et, ÉVIDEMMENT, au saumon confit…
Je charrie un peu. À peine. Mais le fait est qu’en faisant sécher du saumon pour la première fois dans mon déshydrateur, je pensais obtenir des petites croustilles très sèches, comme celles que j’adorais acheter à l’époque chez SAUM-MOM. Une version marine du boeuf jerky, en somme.
Comme j’aime bien les mélanges sucrés-salés, j’ai toutefois fait mariner le saumon dans une sauce teriyaki avant de les faire sécher. The rest is history… en tout cas, chez nous!
Une fois les tranches déshydratées: SURPRISE! Elles étaient caramélisées, mais encore tendres, et non desséchées comme je le prévoyais. Déjà délicieuses, elles sont devenues carrément divines après un bref passage au frigo.
Si vous cherchez des petites bouchée pour faire grignoter vos invités pendant les Fêtes, je vous assure que vous aurez-là de quoi les surprendre. Chose certaine, ça change des chips! Le saumon confit est aussi parfait pour apporter comme contribution dans un «pot luck»: on ne monopolise pas l’espace comptoir ni le four, mais assurément les conversations ;-)
Suite
Fines herbes séchées
21 septembre 2008 | Martine GingrasJe suis sortie avec le ferme projet de faire le ménage des plates-bandes… mais j’ai fait un petit détour par le potager… qui s’est éternisé…
Une demi-heure plus tard, toujours pas de signe de la banlieusarde dans les plates-bandes, mais un évier rempli à ras-bord de fines herbes, un postérieur dépassant d’une armoire de cuisine et un gros barda sur le plancher, où s’accumulaient des instruments hétéroclites, jusqu’à ce que…
EURÊKA! J’ai retrouvé mon déshydrateur!
Toutes les fines herbes de ma récolte n’y étaient pas destinées… J’ai mis de côté celles avec lesquelles j’ai préparé des herbes salées (une variante toute personnelle des herbes salées du bas-du-fleuve qu’on achète en épicerie… la recette suivra plus tard cette semaine!) Quand au basilic, je l’ai laissé dehors dans l’espoir de faire un dernier bon pesto d’ici quelques jours.
Pour le séchage, mes favorites sont la ciboulette et l’estragon français, qui sont précisément celles que j’ai fait déshydrater ce matin. La ciboulette séchée prend une saveur concentrée sucrée, et ajoutera une touche merveilleuse aux petits plats de l’automne et de l’hiver. Quand à l’estragon, il perd un peu de son piquant estival, mais pas sa saveur anisée, qui accompagne aussi bien le poulet que le poisson!
J’en ferai certainement sécher quelques autres (romarin, sauge, persil, thym) dans les jours qui viennent, mais surtout pas le basilic et la coriandre, qui perdent toute leur personnalité en séchant. Je préfère donc les utiliser fraiches tant qu’elles ne flétrissent pas sous le coup d’un gel nocturne, pour ensuite m’approvisionner en épicerie.
Suite
Magret de canard séché au déshydrateur
7 décembre 2005 | Martine GingrasEn prévision des réceptions du temps des Fêtes, j’ai voulu refaire de délicieux magrets de canard séchés aux épices que j’avais préparés l’an dernier. Mon doux m’a donc rapporté deux beaux gros magrets du périgord, que j’ai mis à macérer dans une saumure de sel et de fructose au frigo. Mais après les 36h de macération, il m’est venu une idée: et si, plutôt que de laisser la viande sécher au réfrigérateur pendant deux longues semaines, je la tranchais tout de suite pour la faire sécher au déshydrateur?
Aussitôt pensé, aussitôt fait, ou plutôt, à moitié fait: j’ai quand même mis un des magrets à sécher au frigo, et n’ai imposé le déshydrateur qu’au second…
Comme les étages de mon déshydrateur sont peu distants les uns des autres, il n’était pas possible de faire sécher le magret entier, ce qui aurait sans doute donner un résultat s’approchant d’un lent séchage au frigo. En tranchant tout de suite le magret, le résultat prévisible était que les tranches seraient plus sèches. Par ailleurs, je doute que cette méthode passerait le test de l’innocuité alimentaire, le centre des tranches n’ayant pas été en contact avec du sel (qui normalement empêche la prolifération bactérienne pendant les stades initiaux du séchage d’une viande au déshydrateur). Alors, impatients de ce monde, faites la recette à vos risques et périls! Tout ce que je peux vous dire, c’est que le résultat est bien bon, et qu’il aide à patienter d’ici à ce que le temps fasse son oeuvre avec le magret laissé à sécher au frigo ;-)
Suite
Saumon confit au gingembre
23 février 2004 | Martine GingrasLe saumon confit des Banlieusardises reste, à ce jour, mon plus grand succès culinaire, toutes catégories confondues. La recette a voyagé de Rosemère à la France, puis à la Belgique, en passant par Loretteville et Nicolet, chacune de ces étapes … Suite