bouchée - Banlieusardises
Crevettes et tomates au piment d’Espelette
25 avril 2007 | Martine GingrasExit les plats mijotés, voici une autre recette qui goûte l’été. C’est une petite entrée toute simple dont le seul secret est de réunir de savoureux ingrédients frais: une belle tomate, des crevettes de Sept-Îles, du jus de citron, une bonne huile d’olive et une pincée de piment d’Espelette.
Le plus long, c’est de décortiquer les crevettes. Surtout si votre grande fille de deux ans se découvre une passion dévorante pour les oeufs, et refuse que vous vous attaquiez à la prochaine petite bête rose tant qu’elle n’a pas systématiquement vidé les petites perles précieuses de la précédente!
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Canard-melon balsamique
12 janvier 2007 | Martine GingrasLe canard séché est un péché mignon hors de prix lorsqu’on l’achète déjà préparé: une vingt-trentaine de petites tranches déjà préparées coûtent environ le prix d’un magret complet. Mais c’est un luxe finalement pas si tant pire pour le budget lorsqu’on le prépare soi-même! On ne le dégustera toutefois pas sur un coup de tête, puisque les magrets doivent d’abord passer 36h dans un mélange sel/sucre, puis une dizaine de jours à sécher (étape que j’ai déjà voulu accélérer en usant de mon génie et de mon déshydrateur, mais ce n’était franchement pas aussi bon).
Tant qu’à avoir les mains dedans, je prépare systématiquement deux magrets plutôt que juste un. Une fois une quinzaine de jours passés depuis le début des opérations, il ne reste généralement plus rien.
Sauf pendant le temps des Fêtes. Est-ce la faute à tous les autres succulents restes qu’il y avait au frigo? On n’arrivait pas à finir un magret de canard séché. Alors plutôt que de simplement le servir tranché, il a fallu que je renouvelle la présentation pour convaincre ma maisonnée d’en venir à bout. Je me suis donc lancée dans cette variation sur le thème du proscuitto-cantaloup, devenu un canard-melon pour les besoins de la cause:
C’est aussi simple à préparer que ça en a l’air, une fois qu’on a préparé le canard séché (ou qu’on s’est ruiné à l’épicerie…)
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