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Bouchées de poulet à l’érable et à la coriandre
13 mars 2009 | Martine GingrasJ’ai pris un risque avec cette recette. Un gros risque. Jusqu’à la toute dernière minute, je savais que je tenais une combinaison gagnante pour plaire aux petites: poulet, sirop d’érable, sauce soya. On ne peut pas se tromper avec ça.
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Saumon séché confit à l’érable
21 décembre 2008 | Martine GingrasBeaucoup de grandes inventions furent le fruit du hasard: il n’y a qu’à penser aux rayons X, au célèbre petit Post-it et, ÉVIDEMMENT, au saumon confit…
Je charrie un peu. À peine. Mais le fait est qu’en faisant sécher du saumon pour la première fois dans mon déshydrateur, je pensais obtenir des petites croustilles très sèches, comme celles que j’adorais acheter à l’époque chez SAUM-MOM. Une version marine du boeuf jerky, en somme.
Comme j’aime bien les mélanges sucrés-salés, j’ai toutefois fait mariner le saumon dans une sauce teriyaki avant de les faire sécher. The rest is history… en tout cas, chez nous!
Une fois les tranches déshydratées: SURPRISE! Elles étaient caramélisées, mais encore tendres, et non desséchées comme je le prévoyais. Déjà délicieuses, elles sont devenues carrément divines après un bref passage au frigo.
Si vous cherchez des petites bouchée pour faire grignoter vos invités pendant les Fêtes, je vous assure que vous aurez-là de quoi les surprendre. Chose certaine, ça change des chips! Le saumon confit est aussi parfait pour apporter comme contribution dans un «pot luck»: on ne monopolise pas l’espace comptoir ni le four, mais assurément les conversations ;-)
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Lapin à l’érable
17 juin 2008 | Martine GingrasCe n’est pas mon interprétation la plus réussie du lapin. Je ne suis pas particulièrement fière de mes photos non plus (cette idée, aussi, de rédiger une recette après être allée faire un tour sur Le Carrefour!) Mais je ne peux pas ne pas vous en parler, parce que l’animal était un généreux cadeau d’une blogueuse, JulieJulie (mieux connue sous le nom de Julie-aux-cinq-enfants). Oh, bien sûr, celle qui me l’a offert parle plutôt d’un échange, mais je vous laisse juger: quand on part avec dix petits plants de tomates sous le bras, et qu’on revient avec un lapin et une douzaine d’œufs frais dans la glacière, est-ce qu’on peut encore dire que c’est un échange? Il ne me reste qu’à espérer que mes plants seront productifs, pour lui remettre un peu de tout ce qu’elle nous a donné!
L’idée de manger du lapin a un peu surpris ma grande. Surtout quand on lui a dit que c’était un cadeau des amis qu’on avait vus ce dimanche. Elle avait vu de vrais lapins dans leurs clapiers, alors elle a immanquablement commencé à faire des liens…
Ma grande (avec un air de vous-ne-me-ferez-pas-marcher): Des lapins, ça ne se mange pas!
Maman banlieusarde (qui se demande si elle est prête à aborder cette question): Mais si, ça se mange! Toute la viande qu’on mange vient des animaux.
Ma grande (avec un air de dites-moi-que-ce-n’est-pas-vrai): Oui, mais pas les lapins, hein?
Maman banlieusarde (qui décide que la vérité crue peut attendre encore un peu): C’est vrai, pas les lapins (et plus bas) en peluche.
Ouf. Je n’ai pas menti. Juste reporté à plus tard une discussion sur le comment du pourquoi mange-t-on les animaux, surtout quand ils sont doux et mignons. Mais mon esprit, lui, a continué à vagabonder sur ce thème.
On dit souvent qu’acheter des produits locaux est un geste écologique parce que la nourriture voyage moins, mais ça l’est aussi parce que de connaître l’origine de ce qu’on mange nous incite à consommer autrement. Bien sûr, j’évite toujours de gaspiller la nourriture, mais j’ai trouvé que le fait d’avoir vu où mon lapin avait été élevé, de savoir qu’il avait été soigné et nourri par une amie, tout ça incitait à encore plus de respect. Si on en savait un peu plus sur la viande qu’on achète, si elle était un peu moins désincarnée, on en consommerait sûrement beaucoup moins, et quand on le fait, on la mangerait en sachant à quel point elle est précieuse…
L’esprit de ma grande aussi a dû vagabonder, car une fois à table, le déni a fait place à une déclaration unilatérale d’appréciation: «il est bon, le lapin des amis, maman!», répétait-elle en dégustant chaque bouchée… Elle n’a pas été dupe de ma diversion, on dirait!
Mais revenons-en à nos moutons. Ou à notre lapin. Il n’était pas question de perdre le plus petit morceau de viande — voir la recette ci-bas — et même ses os ont servi à faire le plus délicieux des bouillons! Merci d’ailleurs à Vincent le ri-canneux, chez qui j’ai abouti alors que je me demandais si du bouillon de lapin, ça se pouvait…
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Gigot d’agneau caramélisé à l’érable
22 mars 2008 | Martine GingrasOn pourrait croire à une cuisse de poulet… mais c’est que je suis mal arrivée à rendre en photo la dimension de cet énorme gigot raccourci. Alors oui, imaginez une cuisse de poulet, mais en version Pierrafeu!
Comme c’était la … Suite
Salade de céleri-rave au poivre rose et à à l’érable
4 janvier 2007 | Martine GingrasMes plus plates excuses, chers lecteurs… vous n’avez eu ni voeux de Noël, ni souhaits de l’an nouveau… Si je vous dis que cette pause m’a fait le plus grand bien, me pardonnerez-vous? J’en avais vraiment besoin (de la pause, pas de votre pardon… quoi que… ;-))
Assez de justifications et d’explications, passons aux choses sérieuses: une bonne recette à partager!
L’année ne pouvait que débuter en beauté avec cette salade de céleri-rave, où se mélangent deux saveurs que j’adore: le sirop d’érable, et les baies de poivre rose.
En fait, le poivre rose ne m’émeuvait pas tellement, jusqu’à ce que les sympathiques proprios des Mercredis (un commerce de produits fins situé à Rosemère) me refilent en douce quelques grains provenant du Brésil. Quelle découverte! Ce poivre rose est dans une classe à part: fruité, savoureux, aromatique…
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Bacon caramélisé à l’érable
28 octobre 2006 | Martine GingrasJe suis folle du bacon. Mais difficile.
Je n’aime pas le bacon trop gras. Ni trop salé. J’aime le vrai bon goût de l’érable, mais pas la « saveur d’érable » artificielle. Difficile, je vous dis!
Je n’aime pas non plus avoir à remballer la moitié du paquet, faute d’avoir suffisamment de place dans la poêle pour placer plus de tranches à l’horizontale.
Depuis l’avènement des bacons «légers» et/ou avec «moins de sel», il y a de l’avenir pour les difficiles dans mon genre. Par contre, en cuisant, on dirait que ces tranches expurgent une incroyable quantité d’eau. Peut-être n’y a-t-il finalement pas moins de sel, mais plus d’eau aditionnée à la viande? Oh well! En égouttant les tranches à mi-cuisson, on arrive à quelque chose!
Vous remarquerez que les tranches ne sont pas plates, loin de là… c’est le compromis que j’ai jugé acceptable pour m’éviter de devoir remballer la moitié du paquet: on met tout en vrac dans la poêle, et on cuit en mélangeant à l’occasion, à la bonne franquette, comme à la cabane à sucre…
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