Derniers billets | - 120/280 - Banlieusardises
Tout est relatif…
4 février 2006 | Martine GingrasQu’un savant démontre que E=mc2, c’est pas mal… mais que la chair de notre chair emboîte pour la première fois des contenants les uns dans les autres, n’est-ce pas tout bonnement EXCEPTIONNEL?
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Un nouvel appareil photo numérique: mon coeur balance…
31 janvier 2006 | Martine GingrasJe me souviens encore de mes premières «vraies» photos, prises à l’époque du cégep avec un appareil argentique: la vieille gare désafectée, la statue du curé Labelle, l’église en contre-plongée… Bref, les mêmes que tout autre étudiant en photo, puisque c’est-là tout ce qui était à distance de marche du cégep et que nous avions le temps d’aller croquer pendant une brève expédition dans l’heure du cours!
À l’époque, j’utilisais un Minolta SRT-101, que j’ai encore d’ailleurs… Puis, un jour, le numérique est arrivé, et j’ai rapidement sauté dans l’aventure avec un Olympus D-450, puis, un Kodak DC4800, puis… puis j’ai longuement magasiné l’appareil suivant, pour finalement arrêter mon choix sur le Panasonic FZ10, il y a deux ans (pour voir mon comparatif de l’époque, consultez les commentaires sur ce billet, mais en bref, disons que c’est sa bague de focus manuel, son zoom 12x, son stabilisateur d’image et sa lentille Leica qui me l’ont vendu).
Encore à ce jour, mon FZ10 demeure un véritable bijou, un quasi-SLR qui en a l’air sans en avoir la chanson: il offre tous les réglages manuels dont on puisse rêver, mais sans les objectifs interchangeables (mais avec un objectif de base qui couvre une plage équivalente à 35-420mm, difficile de s’en plaindre). Et comme je photographie surtout en vue d’une publication Web, ses 4 mégapixels me suffisent encore amplement. Si j’avais à choisir un appareil maintenant pour répondre encore aux mêmes besoins, je reprendrais encore le même, ou plutôt, son plus récent descendant, le FZ30.
Où donc est le problème (car il y en a sûrement un, se dira le lecteur perspicace, pour que la banlieusarde y consacre un billet…)? Oui, le FZ10 demeure toujours aussi fantastique, mais ce sont mes besoins qui ont changés! À ma liste de priorités se sont ajoutés deux éléments qui changent de beaucoup la donne: le poids et la dimension.
Car c’est bien beau avoir un appareil aussi polyvalent techniquement, entre les couches et le linge de rechange, les lingettes et la suce, les jouets et la bavette, le lunch et le portefeuille, une maman finit par manquer de place dans son sac à couches! Résultat: à moins de sortir expressément pour faire de la photo, je n’ai presque jamais mon appareil avec moi, et je rate mille souvenirs de ma petite.
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Crème d’hiver ultra-protectrice Temps-Peau
27 janvier 2006 | Martine GingrasD’accord, d’accord, je vous le concède: c’est probablement l’un de mes pires jeux de mots à vie. Mais quand j’ai cherché un nom pour cette crème d’hiver ultra-protectrice, conçue à la fois pour hydrater la peau rendue trop sèche par le chauffage et pour bien la protéger alors qu’elle est soumise aux rigueurs de l’hiver, la seule image qui me venait en tête est que j’avais préparé une sorte d’abri Tempo pour le visage…
Alors oui, on y va pour une crème Temps-Peau, pouêt, pouêt, pouêt! De toute façon, qu’importe le nom, l’important, c’est qu’elle protège… et avec une bonne proportion de beurre de karité dans le mélange, elle ne saurait faire autrement! Je l’utilise autant pour réhydrater le contour de la bouche de ma petite Fanny, mis à rude épreuve par le passage de la débarbouillette après chaque repas, que pour mon propre visage et mes moins propres mains (pouêt, pouêt, pouêt), avant de sortir marcher au froid.
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Steak de marlin bleu mariné à la lime et mi-cuit
27 janvier 2006 | Martine GingrasCeci est la 498ième recette publiée sur les Banlieusardises… Plus qu’une, une seule, une toute petite avant la 500ième!
Quand j’ai vu deux beaux steaks de marlin bleu à la poissonnerie, j’ai tout de suite repensé à la recette de … Suite
Un catalogue irrésistible pour magasiner ses semences…
25 janvier 2006 | Martine GingrasDepuis quelques semaines, les catalogues de semis affluent dans ma boîte à lettre. La plupart tartinent leurs pages glacées de fleurs plus tape-à-l’oeil les unes que les autres, espérant titiller le jardinier qui sommeille en moi depuis trop longtemps déjà. Pas le temps cette année, pas le temps cette année, pas le temps cette année… voilà la phrase que je me répétais sagement en les feuilletant distraitement avant de les envoyer au recyclage. En effet, entre le retour au boulot et la vie de famille, je n’aurai pas vraiment le temps de cultiver plus que mes favoris au potager, et entretenir les vivaces du terrain!
Pas le temps cette année… hmmm… raifort panaché… pas le temps cet… hmmm… roquette sauvage… Bon, bon, bon, comment résister à celui-là? Ah, Richters! Imprimé sur papier brun, avec ses pages bourrées de texte, il n’a rien de sexy à première vue… mais si on ose s’en approcher, le feuilleter, le lire, on en devient instantanément accro!
Principalement consacré aux herbes médicinales, aromatiques et comestibles, c’est un catalogue quasiment encyclopédique: on ne se contente pas de nous décrire l’herbe, mais aussi ses usages et propriétés, faisant de ce catalogue une référence à garder à portée de main à longueur d’année. Le choix est impressionnant: on y offre par exemple plus de quarante variétés de basilics, sans compter des herbes rares et exotiques, une grande sélection de semences biologiques, etc. Je préfère plonger dans le catalogue papier que la version électronique, même si c’est ensuite sur le site Web que je commande.
Par le passé, j’ai acheté chez Richters de la guimauve, de l’échinacée angustifolia, de l’agastache, de la camomille allemande bio, des monardes uniques, de la coriandre santo, et bien d’autres choses… Et même si je n’ai, comme vous le savez, pas le temps cette année, je ne peux tout simplement pas m’empêcher d’essayer quelques nouveautés dont je suis très curieuse. Voici ce à quoi pourrait ressembler ma commande après une première lecture du catalogue:
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La répétition
21 janvier 2006 | Martine GingrasRetour au boulot dans un peu plus de deux mois. Autant dire que c’est demain. Déjà.
Je repense aux dernières années, et je ne vois vraiment pas comment j’y arriverai. Avant, j’avais le temps de prendre une douche au saut du lit vers 6h du matin, puis de faire une mise à jour des Banlieusardises en buvant mon café tranquillement, pour ensuite déjeuner, me pomponner, et prendre un bol d’air frais en marchant jusqu’à la gare.
Évidemment, les mises à jour seront moins fréquentes. C’est déjà réglé dans ma tête. Mais même le reste de la routine me semble difficilement réalisable! Alors plutôt que de stresser jusqu’à la fin mars, j’ai décidé d’astreindre ma petite famille à une répétition générale cette semaine…
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