Derniers billets | - 102/280 - Banlieusardises
Haricots Starazakorsky : comme de petits épaulards!
30 août 2006 | Martine GingrasJ’adore faire des échanges de semences et découvrir des variétés rares ou surprenantes de plantes potagères. Il y a quelques années, un généreux jardinier m’avait glissé une enveloppe arborant un nom mystérieux en plus des semences prévues à notre échange. Ce que j’y ai trouvé m’a charmée: cinq petits haricots blancs tachetés de noir, ressemblant à de minuscules épaulards!
Malgré toute la fascination que je leur portais, je n’avais déjà plus de place au potager l’année où je les ai reçus, même pour cinq petits épaulards (à raconter l’histoire ainsi, j’ai l’air de planifier les choses avec précision, mais soyons honnêtes: j’avais probablement juste oublié de les semer ;-)) Pour faire une histoire courte: c’est seulement l’été dernier que j’ai finalement mis en terre les jolis haricots.
Mais avec seulement cinq plants, et étêtés par la marmotte en début de saison par-dessus le marché, la récolte 2005 ne suffisait pas à cuisiner un plat digne de ce nom. J’ai donc conservé ma récolte pour la semer dans son entièreté cet été, et enfin en avoir en abondance.
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De retour du chalet
26 août 2006 | Martine GingrasQuelque part sur la planète, il y a un grand lac…
… dont on profite en solitaire, au petit matin, avec quelques huards…
… et puis le reste de la journée avec la petite famille.
Tout près du lac, il y a un chalet…
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Un jardin sans trop de soucis…
20 août 2006 | Martine GingrasÀ part au potager et dans les balconnières, les annuelles n’ont pas la vie facile chez moi. Seules quelques miraculées arrivent à s’extirper de l’enchevêtrement de vivaces et de mauvaises herbes qui composent mes plates-bandes! Quand je parle de mon jardin «sans trop de soucis», c’est au sens propre: c’est un jardin où l’on voit peu de souci, pavot, zinnia ou autre annuelle.
Pourtant, à chaque printemps, j’en sème avec beaucoup d’enthousiasme et de volonté ici et là, sur la bonne terre fraîchement amendée de compost. Mais quelques semaines plus tard, quand les vivaces commencent à pousser, c’est avec tout autant d’enthousiasme et de volonté que je me lance dans la division et la relocalisation des plantes. Résultat: les petites graines d’annuelles se retrouvent «barouettées» en même temps dans des plates-bandes auxquelles elles n’étaient pas destinées.
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Lotion nettoyante à l’eau de rose pour lingettes lavables
13 août 2006 | Martine GingrasSemaine après semaine, mois après mois, je continue de préparer ma propre lotion nettoyante dans laquelle j’immgerge les lingettes lavables qui me servent à débarbouiller le popotin de mon adorée. J’ai fait diverses variantes autour du même thème déjà abordé dans un billet précédent (voir la recette de ma lotion nettoyante pour débarbouillettes de bébé), dont celle-ci à l’eau de rose.
C’est définitivement cette version que la principale intéressée apprécie le plus, à un point tel que la boîte de lingette se vide deux fois plus rapidement qu’auparavant: à chaque change, il en faut une pour que mademoiselle s’amuse, et une pour que maman nettoie!
Soit dit en passant, cette lotion douce et odorante fait aussi merveille pour nettoyer le visage, le soir et le matin! À essayer si vous êtes une inconditionnelle des lingettes nettoyantes…
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Chili con carne
13 août 2006 | Martine GingrasC’est un plat que je cuisine souvent, à un point tel que c’est avec stupéfaction que je découvre n’avoir jamais mis ma recette en ligne! Voici donc la version cuisinée ce soir. Elle aurait été encore meilleure avec des tomates du potager, mais pour en cueillir en quantité suffisante, il aurait fallu attendre encore quelques semaines! Et moi, c’est ce soir que je voulais mon chili…
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Les tomates mûrissent plus vite quand on n’y pense pas
10 août 2006 | Martine GingrasLes petits moineaux — des tomates de la grosseur d’une groseille — font le bonheur de Fanny depuis quelques jours. En lui en cueillant quelques unes, je me passais la réflexion qu’elles mûrissaient vraiment tôt cette année.
Et pourtant, une rapide consultation de mes archives banlieusardesques m’indique que la cuvée 2006 des tomates du potager rougit pas mal au même rythme que celle de 2003, de 2004… Il faut croire que c’est ma perspective qui a changé: la maternité ne me rend pas plus patiente, mais elle ne me laisse pas tellement le loisir de taper du pied à côté d’une tomate verte et de compter les jours jusqu’à son mûrissement. C’est à se demander ce que je faisais de mes journées auparavant… ;-)
Dans quelques jours, je pourrai enfin faire déguster quelques autres variétés à la petite, notamment une tigerella — une petite tomate rouge striée de vert — qui semble presque mûre:
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