Demain, décembre.
Plissez les yeux, regardez bien. Ne cherchez pas le train. Voyez-vous ce que je vois, à travers la grisaille de fin novembre? Une vague lueur. De la lumière. Du rose!
Vous pensez que c’est juste un signe que la journée sera moins sombre qu’elle a commencé? Mais mettez un peu de poésie dans votre vie, que diable! Moi, je suis certaine que j’ai vu ce matin la promesse d’un mois de décembre tout joyeux, tout lumineux… tout rose!
La petite lumière au loin, je la dédie à tous ces blogueurs que je lis, à qui le mois de novembre est vraiment rentré dedans. Et plus particulièrement à Audrey, la douce de Philippe-A.
Tenez bon, tous. C’est demain décembre!
Et pour ceux à qui la perspective d’un mois tout en rose déplait autant qu’un mois sombre et pluvieux, ne vous en faites pas, le rose va passer inaperçu parmi les lumières de nowell multicolores…
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Très beau billet rempli de poésie.
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Ça fait un peu comme la lumière au bout du tunel. Tu ne trouves pas ?
KIM
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Hehe, Kim, je croyais que la lumiere au bout du tunnel etait blanche… En rose c’est bien mieux et surtout plus poetique en effet! :)
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Comme c’est fou. Ce matin, une demie-heure après toi, j’ai pris le même train et je me suis dit que ça ferait une photo magnifique! Merci de l’avoir prise pour moi!
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C’est très beau comme composition avec les lignes qui se croisent. Et le côté presque monochrome du temps gris… Tout doux
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Merci Martine :) Quel beau billet. J’ai profité des derniers temps doux pour décorer le dehors. Et vivement, que la neige tombe et que la féérie de décembre nous accompagne. Nous fûmes éprouvés par ce triste novembre qui fait maintenant partie du passé.
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Demain Décembre, demain s’en vient de Montréal à Paris ma seule amie de la Belle Province.
Merci, Martine, de cette belle coïncidence. -
Merci pour cette jolie photo !
Chez moi, en Belgique, la « grande » fête des enfants, c’est la St Nicolas (le 6 décembre). Le grand Saint apporte jouets et friandises, via la cheminée, aux enfants « sages ». Ces superbes lueurs roses apparaissent dans le ciel de chez nous en novembre, le soir et tôt le matin. Quand j’étais petite, mes parents me disaient que c’était les reflets du four dans lequel St Nicolas , an plein ciel et en pleine nuit, avait cuit ses fameuses friandises : massepains et spéculoos. Et je les croyais …. C’est-y pas joli, ça ?
Bonnes fêtes à tous.
jacqueline -
Souvent je me dis qu’il faut regarder le côté ensoleillé ou lumineux de la vie.
Cette fois-ci, il fallait regarder vers le côté rose de la vie. -
Je viens de lire Comme chez Rona… finalement, oubliez toute la belle poésie: la lueur rose au bout du chemin de fer, c’est l’isolant rose de sa maison ;-)
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Ah Martine, quand tu m’as écrit dans mes commentaires « c’était ça la lumière au bout de la track », je croyais que tu faisais référence à l’étoile que les rois mages ont suivi…puique je faisais moi-même référence à la crèche (d’où ma réponse à ton commentaire dans mes commentaires…) Je ne sais pas ce qui m’a pris d’être aussi poétique à matin, j’imagine que de sniffer de l’isolant trop longtemps fini par endommager les cellules du cerveau…:)
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Ha ha… je lisais et je relisais, et tout ce que je trouvais de rose, c’était l’isolant!
Vous aimez le blogue? Il y a maintenant le livre, publié en 2010 chez Trécarré!
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