Grand dilemme dans la maisonnée ce weekend à propos de la sculpture des citrouilles d’halloween: va-t-on simplement les découper comme à l’habitude ou les graver?

La question ne me serait honnêtement jamais venu à l’esprit si je n’avais acheté l’incontournable numéro d’octobre du Martha Stewart Living (si, si, celui avec un appareil photo numérique à l’arrière ;-)) On y voit de magnifiques hiboux, un escargot, un anaconda et bien d’autres bestioles dont les attributs sont pour la plupart gravés dans la citrouille plutôt que découpés. En jouant avec les angles et la profondeur de la gravure dans la chair, la peau laisse plus ou moins filtrer la lumière. Des courges décoratives sont aussi utilisées en guise d’yeux, de pattes ou d’oreilles pour ajouter du caractère à la créature.

Avec des ciseaux à bois, nous avons testé la technique sur une petite citrouille dont la queue faisait penser à un bec d’oiseau. Vous voyez d’ailleurs ci-contre le résultat de la collaboration de mon doux et de moi-même. Pas si mal pour une première, hmmm?

Malheureusement, dans l’obscurité la plus complète, certains attributs (notamment le bec) passent complètement inaperçu. En plus, c’est mille fois plus long que le découpage traditionnel (du moins pour une fille qui joue pour la première fois de sa vie avec des ciseaux à bois… mon doux se débrouille déjà un peu mieux que moi!)

Il reste encore deux ÉNORMES citrouilles et deux petites à sculpter. Je crois que je vais en revenir à ma méthode habituelle, qui avait d’ailleurs remporté un vif succès auprès des plus sévères évaluateurs (j’ai nommé: les enfants du quartier!) On ne change pas une formule gagnante. ;-)

Le doux gravera autour si ça lui chante!