L’an dernier, j’avais pour tout espace à semis une seule grande table éclairée de néons blanc frais (avouez que ça sonne drôle en français!), de sorte qu’il était relativement facile d’assurer le suivi des semis à faire de semaine en semaine. Mais cette année, avec quatre fois plus d’espace pour mes jeunes pousses, j’ai commandé et échangé tant de petits sachets de semences que j’ai crains de perdre le fil!

Ainsi, pour éviter de redécouvrir au fond d’une boîte, en plein milieu de l’été, quelques sachets dont j’aurais oublié de semer le contenu, j’ai cherché une méthode de classement plus systématique. Le hasard faisant merveilleusement bien les choses, une journée de ménage m’a fait retrouver trois anciens classeurs à disquettes (deux pour les disquettes de 3¼ et un pour les 5¼).

Vérification faite, la largeur des plus petits est parfaite pour les sachets conventionnels (et mes sachets imprimez-et-utilisez!); le plus grand est utile pour accueillir les sachets de formes variées.

J’utilise les divisions déjà en place pour séparer les sachets par période de semis: janvier-février, mars, avril, mai… et un gros espace à la fin pour les semis à faire directement à l’extérieur.

Vive la récupération!