Réno & Déco
Tout pour aménager le bungalow
Des pinces vraiment attachantes
4 janvier 2010 | Martine GingrasIl y a dans ma cuisine une armoire maudite. Dans le sens qu’on va immanquablement finir par sacrer si on l’ouvre… C’est celle des ingrédients secs: sacs, sachets et boîtes de semoule, de légumineuses et de pâtes y sont empilés … Suite
Des gants qui donnent (quasiment) envie de faire la vaisselle
21 mars 2009 | Martine GingrasUne casserole par-ci, une assiette par-là: je lave quotidiennement plein d’items à la main, sans jamais vraiment m’installer «officiellement» pour faire la vaisselle. Comme je le fais à la sauvette, jamais je ne prends le temps d’enfiler des gants de … Suite
Bouquet de l’été d’après
3 juillet 2008 | Martine GingrasC’est fou, mais il y a plus de fleurs autour de la maison après le passage de la pépine qu’avant. En fait, ce n’est pas tant la pépine que ma jardinière de mère qui a fait la différence! Résultat: je cueille et je cueille sans compter pour faire des bouquets, et il y en reste toujours dans les plates-bandes. Il faudrait bien que je prenne quelques photos pour vous montrer ce que ça donne autour de la maison, mais en attendant, voici déjà un bouquet d’été:
Il y a là-dedans des spirées en fleur, de l’onagre, de la marguerite des champs, des œillets du poète et beaucoup de camomilles à fleur double.
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Aménager un piédestal pour laveuse-sécheuse à une fraction du prix
9 mars 2008 | Martine GingrasTant qu’à être dans la salle de lavage, j’ai autre chose à vous montrer…
Mise en contexte: Je ne sais pas depuis quand ils existent, je ne sais pas qui les a inventés, mais je sais à peu près quand est-ce que moi, je me suis mise à trouver que les socles à laveuse et sécheuse étaient de saprées belles inventions: ça devait être en attrapant mon dixième tour de rein de l’année en faisant ma deux-cent-quatre-vingt-troisième brassée de couches lavables.
C’est que ma laveuse est un modèle à chargement frontal: ça économise l’eau et c’est moins dommageable pour les vêtements, mais pour le dos, c’est une autre histoire. En permettant de surélever les appareils, ces socles faisaient miroiter pour moi un avenir moins penché, moins douloureux. Mais à 200$/pièce, et beaucoup d’autres priorités dans ma vie, je n’ai jamais sérieusement envisagé un tel achat. Et puis bon, jouer à penche-relève, c’est un peu comme un genre de manière d’exercice physique… non?
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Aménagement de la salle de lavage: une BELLE cuve à lessive, ça existe!
7 mars 2008 | Martine GingrasFlashback: «Avez-vous ça, des leviers de toilette stylisés, pour matcher avec la robinetterie de la salle de bain?» Non, non, non et non. Autant dans les grands centres de rénovation que dans les magasins spécialisés, que des refus, et parfois même un petit sourire narquois devant la superficialité de la question de la p’tite madame de banlieue, qui se demandait bien pourquoi tout le reste avait le droit d’être appareillé, mais pas la flushe. Quelques années plus tard, qu’est-ce que je ne vois-t’y pas dans la section de la salle de bain d’un de ces mêmes magasins? UN PANNEAU COMPLET de petits leviers stylisés, de toutes les formes et toutes les couleurs. Ben tiens. Faut croire que je n’étais pas la seule à trouver que le côté pratique ne devait pas obligatoirement exclure l’esthétisme.
Même chose cet été, lors des rénovations du sous-sol, lorsqu’il a été question d’aménager la nouvelle salle d’eau. Dans l’ancienne (que vous pouvez «admirer» dans les archives), j’avais une grande cuve à lessive. Malgré son nom, celle-ci ne servait pas tant au lavage qu’à de multiples tâches utilitaires: rempotage des plantes, démarrage des semis, nettoyage des pinceaux, etc. Pas question de remplacer ma grande cuve par un minuscule lavabo de salle d’eau. Mais pas question non plus de remettre notre ancienne monstruosité de plastique blanc dans le sous-sol rénové!
On a visité des dizaines d’endroits. Surprenant tout le monde avec notre étrange requête. On trouvait facilement le même modèle en plastique. On a aussi déniché des modèles en fibre de verre. D’autres en inox. Mais l’histoire se répétait: comme pour tant d’autres choses utilitaires, il semble que personne ne trouvait pertinent qu’une cuve de lavage soit aussi agréable à regarder. De toute façon, qui aurait l’idée de mettre ça ailleurs que dans un garage ou un atelier, hein? QUI?
Moi, monsieur. La p’tite madame superficielle de banlieue veut une BELLE cuve de lavage dans sa salle d’eau. Et puis croyez-moi, quand elle va trouver ce qu’elle a en tête, vous allez vous demander pourquoi vous n’y aviez pas pensé plus tôt. Vous allez peut-être même en avoir une belle sélection dans trois ans, juste à côté du panneau de flushes de toilette. Mais elle en a besoin maintenant. Bon.
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Mon nouveau presse-ail de luxe: l’Epicurean de Kuhn Rikon
20 février 2008 | Martine GingrasDepuis toujours, j’ai un presse-ail dysfonctionnel acheté pas trop cher — probablement au Dollorama — à une époque où je cuisinais à peine, juste parce que ça semblait être un item nécessaire dans une cuisine. Un de ces presse-ails munis d’une petite pinouche qui permet de nettoyer « facilement » la grille après avoir pressé l’ail (mais dans les faits, on doit systématiquement s’acharner dedans avec une fourchette pour sortir les restes). Un de ces presse-ails qu’on finit par laisser au fond du tiroir en clamant haut et fort que l’ail mérite mieux que de finir ses jours ainsi, et notre fierté de faire partie du club de ceux qui n’utilisent pas de presse-ail, préférant de loin hacher l’ail au couteau. Si, si, on insiste: c’est une préférence, et on en est fier.
La vérité, c’est qu’au nom de cette fierté mal placée, je n’utilise presque plus d’ail dans mes recettes. La petite minute nécessaire à écraser la gousse avec le plat d’un couteau, enlever la pelure et hacher le tout bien menu, c’est la petite minute qui manque à ma vie (elle et quelques autres aussi, je dois dire).
Récemment, quand j’étais bien certaine qu’il n’y aurait pas de témoins, j’ai commencé à ressortir le presse-ail en cachette. Pour constater que je ne suis pas si puriste que je l’affirmais fièrement. Pour conclure que je n’en ai pas, moi, de problème avec l’idée que l’ail soit écrasé plutôt qu’haché finement. Mais aussi pour réaliser que j’étais plus que due pour un nouveau presse-ail!
Si j’ai gardé ma vieille patente pendant une quinzaine d’années, le prochain presse-ail pourrait bien me durer toute la vie. Alors autant prendre le temps de bien le choisir…
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