Loisirs
Tout pour s’occuper par journée de pluie ou de beau temps: hobbies, loisirs créatifs, sorties, activités, passe-temps…
Des sacs d’épicerie écolos, équitables et pratiques
15 janvier 2006 | Martine GingrasVous avez certainement entendu parler de la pétition appuyant le projet de loi 390, pour interdire la distribution de sacs en plastique non biodégradables; sinon, il n’est pas trop tard pour en prendre connaissance et la signer.
La classe politique tarde à réagir, mais les marchands, eux, ont bien senti la nécessité de s’adapter aux exigences des consommateurs. Depuis quelques temps, ils multiplient les efforts pour réduire l’utilisation des sacs de plastique: remboursement du coût du sac de plastique à ceux qui arrivent avec leurs propres sacs, vente de sacs réutilisables en tissus ou en matériaux recyclés… Décidément, on dirait parfois qu’on a plus de pouvoir de faire changer les choses comme consommateur qu’en tant que citoyen!
Bien que j’aie toujours donné une seconde vie à mes sacs d’épicerie de plastique à la maison (en les réutilisant dans les poubelles de la cuisine et de la salle de bain, ainsi que dans mon seau à couche), j’ai eu envie de montrer ostensiblement ma position en faveur d’une solution de rechange, en apportant désormais mes propres sacs à l’épicerie.
Encore me fallait-il en trouver qui me conviennent. Tout un défi pour les pauvres sacs, diront ceux qui connaissent mes exigences ;-) Si j’avais des compétences en couture, je les aurais conçus et cousus moi-même, mais comme ce n’est pas le cas, je me suis plutôt mise en quête de sacs à acheter! J’en ai croisé plusieurs sur ma route qui étaient bien jolis, mais trop petits. D’autres qui étaient de bonne dimension, mais pas dans ma palette… D’autres m’auraient donné l’impression d’être une publicité ambulante pour l’une des chaînes d’épicerie. D’autres encore qui ne me semblaient pas assez solides.
Et enfin, je suis tombée sur des sacs solides, durables, lavables, de bonne dimension (on y case le contenu d’environ trois sacs de plastiques). Le choix de tissus a permis d’en trouver un à mon goût, et un autre qui plaît plus à mon doux! Les voici:
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Made in China
6 janvier 2006 | Martine GingrasAvec les reportages présentés récemment à la télé et dans les journaux sur le travail des enfants dans certains ateliers en Chine, les produits «made in China» n’ont pas la cote. Voici quelques phrases cocasses glanées ici et là ces dernières semaines, pendant la frénésie du magasinage des Fêtes:
Pratique: Dans un grand magasin, un couple magasine des pantoufles: «Made in China, made in China, encore made in China… on voudrait ben boycotter les produits fabriqués en Chine, mais on va finir nus pieds!»
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Baume pour ustensiles de cuisine en bois
23 décembre 2005 | Martine GingrasToujours aussi compliqué à caser sur les Banlieusardises que la première fois, voici une version «nouvelle et améliorée» de mon baume pour ustensiles de cuisine en bois! Ce baume-ci est moins dur et s’applique ainsi plus aisément sur les ustensiles.
Mon profil en trois temps
16 décembre 2005 | Martine GingrasÀ force d’avoir le nez collé aux projets du moment, on finit par perdre la perspective de ceux qui nous portent à long terme. Je m’étais promis de profiter du congé de maternité pour faire le point sur ce que je suis, sur ce que je veux, sur le futur des Banlieusardises, qui demeure et demeurera sans doute encore longtemps le projet personnel qui me tient le plus à coeur…
Contre toute attente, sans doute comme bien d’autres mamans, j’ai réalisé qu’un «congé» de maternité était loin d’être une sabbatique: au contraire de me retrouver, je me suis plutôt perdue de vue, au profit de la petite boule d’énergie et d’amour que j’ai mise au monde. Que suis-je, d’où viens-je, où vais-je? Je suis une mamamamamamaman, je viens de faire une brassée de lavage et je vais allaiter pour la énième fois de la journée! Ouf! Qui aurait le temps de s’adonner à de profondes réflexions sur son lui-même à travers un tel horaire?
Peut-être est-ce parce qu’il m’obligerait à prendre le temps d’arrêter un instant et de faire le point (à moins que ça ne soit qu’une virgule), que j’ai répondu positivement à l’invitation d’Olivier qui avait envie de tracer mon profil sur son blog. Ou peut-être est-ce simplement parce que j’étais flattée. Oui, à bien y penser, c’est probablement surtout parce que j’étais flattée ;-) Mais le fait est que la discussion m’a obligée à mettre bébé de côté et à voir où j’en était, moi, moi… juste moi!
Olivier dresse des profils de blogueurs, en trois temps et en trois notes: une mise en situation (parue aujourd’hui), le point sur ses motivations de blogueur (à paraître demain), et enfin, une «carte blanche» laissée à l’interviewé…
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Et ton couple, ça va?
8 décembre 2005 | Martine GingrasLes gens sans enfant me demandent des nouvelles de moi.
Les gens qui ont un enfant du même âge que la mienne me demande des nouvelles d’elle.
Les gens qui ont des enfants un peu plus vieux me demandent avant tout des nouvelles de… mon couple!
Ils sont passés par-là. Ils savent qu’avant, pendant et après la naissance, nos univers gravitent autour du petit être qu’on a mis au monde. On finit par s’oublier soi-même, et à plus forte raison, on en arrive à oublier son couple. On m’avait prévenue des mois à l’avance: «Rappelle-toi que, même si la famille s’élargit, le couple doit continuer d’exister à deux», mais il faut croire que la magie qu’opère un bébé est plus efficace que toute la prévention du monde… Depuis des mois, les frontières entre «moi», le «couple» et la «famille» sont floues, et vaguement définies par un vaste «nous».
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