Loisirs
Tout pour s’occuper par journée de pluie ou de beau temps: hobbies, loisirs créatifs, sorties, activités, passe-temps…
Étiquettes décoratives sur tige
17 avril 2006 | Martine Gingras«Tu n’aurais pas envie de scrapbooker quelque chose pour décorer le gâteau d’anniversaire de Fanny?» Il y a de ces négations qui sont en fait une demande. Surtout quand on en rajoute: «Tiens, il n’y aurait pas quelque chose à faire avec le beau sac dans lequel ta collègue t’a offert un cadeau cette semaine?»
Le sac, avec ses animaux exotiques et coloré, était en effet magnifique. Et le gâteau aux carottes que j’avais cuisiné pour le premier anniversaire de ma fille avait certes grand besoin d’être égayé un peu. Alors pourquoi pas?
Suite
Gare à la solitude
6 avril 2006 | Martine GingrasQuand on voyage en dehors des heures de pointe, on a peine à imaginer l’animation qui a pu régner plus tôt dans la gare…
Suite
Du sépia… et une touche de couleur!
22 mars 2006 | Martine GingrasVoyant que Fanny adorait se voir en photo depuis quelques temps, et comme nous avions deux murs trop vides au salon, nous avons résolu de les décorer avec de grands cadres horizontaux pouvant accueillir cinq photos chacun.
Dès le retour, j’ai imprimé nos plus belles photos de la petite, les ai mises dans le cadre, pour réaliser que… bof. Vraiment, vraiment, vraiment bof. Même si, prises individuellement, les photos étaient toutes très belles, accolées les unes aux autres, elles donnaient une impression globale de n’importe quoi.
Histoire de créer une certaine unité, j’ai ouvert mon logiciel d’édition d’images, et ai d’abord transformé quelques photos en noir et blanc, puis ai joué avec les couleurs pour en arriver à une teinte sépia… Résultat? Uniforme, oui, agréable, oui, mais… un tantinet trop drabe à mon goût! Et puis, entre vous et moi, l’intention me semblait trop manifeste: ça faisait vraiment «photo transformée en sépia» plutôt que «belle photo en noir et blanc» ;-)
Un compromis m’a semblé intéressant: l’ensemble en sépia, mais tout en conservant sur chaque photo un seul élément de couleur. Voici le résultat:
«C’est comme la p’tite fille en rouge dans Schindler’s list» est la remarque qui revient systématiquement… mais pour tout vous dire, ce sont des images nettement plus réjouissantes en tête quand j’ai réalisé ce projet: des photos noir et blanc de mon doux qui sont encadrées chez mes beaux-parents, et qu’il avaient colorées à la main à une époque où Photoshop n’existait pas encore… C’est par ailleurs un procédé très utilisé par les publicitaire: encore hier, j’ai vu une pub télé en noir et blanc où seul le logo vert d’une compagnie ressortait. À voir aussi sur Flickr: les très belles réalisations d’Etolane utilisant la technique du «cut-out».
Voici les grandes étapes qui vous permettront d’en arriver à un tel résultat (en prenant pour acquis que vous maîtrisez déjà les fonctionnalités de votre logiciel d’édition, comme la baguette magique, le lasso, et les transformations d’image…):
Suite
Dessine-moi un chevreuil!
7 mars 2006 | Martine GingrasUne scène enneigée. Un vague sentiment de déjà vu.
Suite
Tout chaud, tout froid, au Centre de la nature de Laval
12 février 2006 | Martine GingrasFaisait frrrroid aujourd’hui. Trrrrès frrrrroid. Mais si beau! Chaudement vêtus, nous sommes sortis marcher au Centre de la nature de Laval, dont je connaissais surtout le visage estival, avec ses sentiers bordés de jardins magnifiques dans lesquels ils fait bon marcher, ou même faire du cardio-poussette!
L’hiver, les activités d’extérieur y sont à l’honneur: patin, glissade, ski… ou tout simplement la marche! J’avais prévu m’amuser un peu en extérieur avec nouvel appareil photo numérique, mais mes doigts ont finalement préféré rester bien au chaud dans les mitaines presque tout le long. Tout de même, après promesse d’aller ensuite les réchauffer, ils ont accepté de braver la froidure pour immortaliser une statue pour enfants:
Bon, je dis «pour enfants», mais il n’y a pas d’âge pour apprécier les oursons de ciment ;-)
Fidèles à la promesse faite à mes extrémités, nous sommes ensuite allés visiter la ferme aux animaux, avec le coq-cocoricooooo, la poule-cot-cot-cot, le cochon-rhon-rhon-rhon, la vache-meuh-meuh, le cochon d’inde sans poil-s’cuse-ma-chouette-maman-sait-pas-le-faire-celui-là, le cheval-awigna-han, l’âne-hi-han, la chèvre-ouch-mon-pied-y’a-plein-de-monde-on-ressort…
Suite
Un nouvel appareil photo numérique: mon coeur balance…
31 janvier 2006 | Martine GingrasJe me souviens encore de mes premières «vraies» photos, prises à l’époque du cégep avec un appareil argentique: la vieille gare désafectée, la statue du curé Labelle, l’église en contre-plongée… Bref, les mêmes que tout autre étudiant en photo, puisque c’est-là tout ce qui était à distance de marche du cégep et que nous avions le temps d’aller croquer pendant une brève expédition dans l’heure du cours!
À l’époque, j’utilisais un Minolta SRT-101, que j’ai encore d’ailleurs… Puis, un jour, le numérique est arrivé, et j’ai rapidement sauté dans l’aventure avec un Olympus D-450, puis, un Kodak DC4800, puis… puis j’ai longuement magasiné l’appareil suivant, pour finalement arrêter mon choix sur le Panasonic FZ10, il y a deux ans (pour voir mon comparatif de l’époque, consultez les commentaires sur ce billet, mais en bref, disons que c’est sa bague de focus manuel, son zoom 12x, son stabilisateur d’image et sa lentille Leica qui me l’ont vendu).
Encore à ce jour, mon FZ10 demeure un véritable bijou, un quasi-SLR qui en a l’air sans en avoir la chanson: il offre tous les réglages manuels dont on puisse rêver, mais sans les objectifs interchangeables (mais avec un objectif de base qui couvre une plage équivalente à 35-420mm, difficile de s’en plaindre). Et comme je photographie surtout en vue d’une publication Web, ses 4 mégapixels me suffisent encore amplement. Si j’avais à choisir un appareil maintenant pour répondre encore aux mêmes besoins, je reprendrais encore le même, ou plutôt, son plus récent descendant, le FZ30.
Où donc est le problème (car il y en a sûrement un, se dira le lecteur perspicace, pour que la banlieusarde y consacre un billet…)? Oui, le FZ10 demeure toujours aussi fantastique, mais ce sont mes besoins qui ont changés! À ma liste de priorités se sont ajoutés deux éléments qui changent de beaucoup la donne: le poids et la dimension.
Car c’est bien beau avoir un appareil aussi polyvalent techniquement, entre les couches et le linge de rechange, les lingettes et la suce, les jouets et la bavette, le lunch et le portefeuille, une maman finit par manquer de place dans son sac à couches! Résultat: à moins de sortir expressément pour faire de la photo, je n’ai presque jamais mon appareil avec moi, et je rate mille souvenirs de ma petite.
Suite