Activités
Avant bébé, avec bébé, et même sans bébé, faut s’occuper!
Apprendre à relaxer en imitant les animaux
18 janvier 2009 | Martine GingrasCe n’est pas pour faire concurrence à la copine des Peccadilles qui a déjà parlé d’un livre pour initier les tout-petits au yoga, mais là… la la lè reuh… j’ai moi aussi une super recommandation dans le genre pour vous! Mon coup de coeur à moi: Comptines de relaxation 2-4 ans.
Il s’agit d’un livre-disque de comptines qui s’inspirent des postures d’animaux pour apprendre aux enfants des gestes pour favoriser la relaxation et la détente, développer la motricité et découvrir son corps. C’est ma grande de trois ans (pile dans l’âge visé) qui l’a reçu pour Noël, mais à dire vrai, le papa, la maman et la plus jeune d’un an ont tout autant de plaisir à faire la danse du kangourou (le grand favori, ici), la marche du gorille argenté, la détente du papillon, les grimaces du singe, et j’en passe.
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Le grelot du p’tit renne au nez rouge
26 décembre 2008 | Martine GingrasSans doute trop pressé de distribuer les cadeaux des petits banlieusards, l’an dernier, l’attelage du Père Noël a perdu trois grelots sur notre terrain. C’est Fanny qui les a retrouvés, le lendemain matin, et les a conservés précieusement pour les lui remettre.
Sur le comptoir, le 24 au soir, on lui a laissé le traditionnel verre de lait, deux biscuits, ses trois grelots et quelques bricolages de Fanny. Et puis dodo pour tous.
Le 25 au matin, devinez ce qu’on a trouvé? Des cadeaux, bien sûr. Des bas de Noël bien remplis, aussi. Mais sur le comptoir, il y avait…
Un verre vide, des miettes de biscuits et un grelot!
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Doozla: parfait pour les petits Picasso de l’ère numérique
15 juillet 2008 | Martine GingrasIl suffit que je fasse un subtil mouvement en direction de mon portable pour que ma grande revendique son droit de cuissage*: «Moiiiii aussi, maman!» Quand elle était toute jeune, je l’installais à califourchon sur mes genoux pour visiter le site Web de ses personnages favoris. Mais en vieillissant, ce qu’elle préfère par-dessus tout, c’est que j’ouvre un traitement de texte pour taper des lettres. En couleur, s’il-vous-plait.
Pour satisfaire son envie d’apprendre tout en récupérant mon portable (et l’épargner d’un éventuel accident), je lui ai offert cet hiver un ordinateur pour enfant, fort heureusement trouvé usagé. Parfait pour faire semblant de taper à l’ordinateur, mais je doute que quiconque puisse apprendre l’alphabet avec ces lettres approximatives affichées en gros pixels, qui ne ressemblent en rien à ce qu’on voit dans les livre ou sur un vrai ordinateur. En tout cas, ici, c’est la plus petite qui s’amuse à faire du bruit avec l’appareil, pendant que la grande continue de réclamer l’ordinateur de maman…
Alors tant pis pour les risques: je me suis mise en frais de dénicher un logiciel adapté pour les tout-petits, qui lui permettrait d’écrire et de dessiner. J’avais lu beaucoup de bien à propos de Kid Pix, un logiciel qui a fait ses preuves au fil des années. Apparemment, la version Mac développée par MacKiev est une petite merveille. Malheureusement, aucune version de démonstration ne permet d’en faire l’essai avant l’achat. Alors avant de débourser 40$, j’ai continué de chercher…
J’ai trouvé un super répertoire de logiciels éducatifs, soigneusement évalués par une équipe de pédagogues. Pratique, le répertoire est organisé par niveau scolaire (préscolaire, primaire, secondaire, adulte) et par discipline (langues, arts, mathématiques, univers social, etc.) On y précise la plateforme, le type de licence, et plus encore. Du bonbon! Que vous soyez éducateur ou parent, c’est à mettre dans vos signets.
Celui que j’ai retenu au termes de mes recherches n’y est pas répertorié (mais je vais certainement le leur suggérer). C’est par un heureux hasard, en fouinant sur le site de Plasq (la compagnie à qui l’on doit la populaire application Comic Life, qui permet de créer des BD ou des photo-romans en quelques clics), que j’ai découvert l’existence de Doozla.
Doozla est un merveilleux logiciel d’édition graphique, qui permet aux tout-petits de colorier, de dessiner et d’écrire. Une version d’évaluation de 30 jours (pour Mac OS X seulement) peut être téléchargée sur le site de Plasq.
L’interface de Doozla est agréable, mais surtout, elle est conviviale et intuitive. Une fonction «plein écran» évite que l’enfant aille se perdre ailleurs dans l’ordinateur en faisant un faux mouvement de la souris.
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On a un an pour trouver un meilleur plan, Père Noël…
25 décembre 2007 | Martine GingrasJe ne voudrais surtout pas faire de jaloux, mais en 2006, le Père Noël a passé une partie de la soirée du 24 décembre chez nous, à distribuer les cadeaux et à chanter des chansons. L’autre jour, alors qu’on contemplait les photos prises pendant cette soirée mémorable, Fanny m’a regardée, interloquée: «Où grand-père?» Hum. Je m’en suis sortie en expliquant qu’il était allé nourrir les rênes du Père Noël. Mais on s’est dit que cette année, valait mieux faire ça bref et garder le Père Noël à distance si on ne voulait pas que notre grande observatrice découvre qui se cachait sous la barbe blanche.
Notre Plan de Noël 2007 était tout simple. Juste avant la sieste, Fanny m’aide à préparer des pancakes choco-bananes pour le Père Noël et on laisse aussi une carotte pour les rennes dehors. Elle se couche pour sa sieste. On appelle mes parents, qui habitent tout près. On mange un bout de carotte et les pancakes. On place les cadeaux sous le sapin de Noël. Mon père se déguise et sort. On réveille Fanny en lui disant que l’attelage a été vu dans le ciel de Rosemère. On ouvre les rideaux. Le Père Noël passe devant la fenêtre de sa chambre en saluant de la main. On va au salon et on distribue les cadeaux dans la joie et l’allégresse.
Tout, tout, tout avait été planifié au quart de tour.
Mais c’était sans compter le facteur «fatigue accumulée». Et aussi le facteur «sucre». Et pire que tout, le facteur «store horizontal qui tombe sur la tête d’une petite fille fatiguée et en overdose de sucre». Ce facteur-là, il ne pardonne pas.
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Couches lavables, portage, langage des signes et plus!
6 décembre 2006 | Martine GingrasTout au long de ma grossesse et pendant mon congé de maternité, j’ai vécu bien des choses dont je me suis empressée de faire la chronique ici, en me disant que mes expériences personnelles pourraient être utiles à d’autres: exercices prénatals, cardio-poussette, couches lavables, cadeaux de naissance, jouets insoupçonnés, choix d’une poussette, contenu de la valise de maternité, mastite, problème de lipase et bien plus encore…
La liste peut sembler longue… et pourtant, elle est partielle: en sont absentes une foule d’activités et d’expériences auxquelles je me suis adonnée sans jamais trouver le temps d’en parler!
Au risque de passer pour môman excessive, voici un aperçu de ce dont je n’ai pas touché mot ici: yoga post-natal, techniques de gestion de la douleur de l’accouchement, magasinage de chaise haute, langage des signes pour bébé, choix de jouets, choix de livres pour bébé…
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De vraies mômans… et de vraies copines
21 novembre 2006 | Martine GingrasBébé naît. On apprend à vivre à un autre rythme. Sans aucun rythme, en fait, du moins pendant quelques semaines. Quelques mois, parfois. Dormir, manger, se laver: autant d’activités qu’on essaie tant bien que mal de caser entre deux boires et changements de couche. Quand on n’a pas de temps pour combler ses besoins primaires, on en a encore moins pour les besoins secondaires.
Parmi mes besoins secondaires à moi: le sôôôcial. J’ai reçu un minimum de visites, juste la famille, et puis ceux auxquels je n’arrivais vraiment pas à dire non… ou qui proposaient de venir faire le ménage ou un repas en échange du privilège de tenir le vénérable poupon quelques minutes (j’ai vraiment le sens des priorités; d’ailleurs, histoire de me glisser parmi les premiers visiteurs, je propose d’emblée d’aller cuisiner pour les nouveaux parents de mon entourage!)
Puis bébé grandit. Se trouve un rythme. On reprend le nôtre. On voudrait bien voir du monde, mais la fascination pour le bébé naissant ne durant que quelques semaines, plus personne ne trouve de temps à l’agenda pour venir admirer la première dent, repérer le mot «maman» parmi les vagissements du petit, ou encore confirmer que le caca du bébé allaité exclusivement sent suuuuuper bon…
Plus personne à voir, et ce congé de maternité qui n’en finit plus! Faute d’amis, on décide de se rabattre sur ses semblables, et on se met à chercher des occasions de rencontrer d’autres mères en congé de maternité. Enwèye le cardio-poussette, le yoga post-natal, les forums de maternité… À force d’efforts, on finit par trouver. De toute façon, on est si mal prise que si la mère de Caillou se proposait de nous tenir compagnie, on ne la refuserait pas! Avec les autres mômans, on s’organise des «play dates», des journées où les petits jouent ensemble pendant que les mômans placotent.
Puis le congé de maternité se termine. On a de nouveau un réseau sôôôcial. On n’a plus besoin de voir les mômans. Et on se surprend à prendre rendez-vous quand même. À toutes trouver du temps dans nos agendas redevenus surchargés. À penser que ce n’était peut-être pas juste pour les bébés qu’on se voyait. Qu’on est peut-être devenues de vraies copines.
Mais au fait, de vraies copines, qu’est-ce que c’est?
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