Viandes
Boeuf, veau, cheval, porc, agneau et parfois même bison, cerf et caribou se succèdent dans mes chaudrons. Vous l’aurez deviné: je ne suis pas végétarienne!
Rôti de bas de palette à l’orange et au miso
19 janvier 2006 | Martine GingrasCeci est la 497ième recette publiée sur les Banlieusardises… Plus que 2 avant la 500ième!
Je cuisine si souvent avec ma cocotte de terre cuite ces jours-ci qu’elle n’a même plus le temps de retourner se percher au haut de son armoire entre les utilisations! Dernière expérimentation en lice: ce rôti de bas de palette tartiné de pâte miso et mijoté longuement dans un mélange de jus d’orange et de bouillon de canard… C’était plus bon que beau, mais qui s’en plaindra?
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Ragoût de cerf aux pommes
5 janvier 2006 | Martine GingrasCeci est la 494ième recette publiée sur les Banlieusardises… Plus que 5 avant la 500ième!
Hier, nous avons passé la journé à rénover la salle de bain. «Encore? Vous ne l’aimiez pas telle que vous l’avez rénovée à la fin de l’été?», me demanderont ceux qui se souviennent que nous étions en pleines rénovations au mois d’août. Pour tout vous dire, nous ne sommes pas encore en mesure de l’aimer ou de ne pas l’aimer, puisque le projet n’a pu avancer pendant trois longs mois, avant que mon doux s’y remette enfin la semaine dernière. Et histoire que ça avance un peu plus vite, j’ai décidé de mettre moi aussi la main à la pâte hier, tartinant les tuiles de céramique avant que mon doux ne les colle au mur.
Entre deux tartines, en milieu d’après-midi,j’ai empli la cocotte de terre cuite de bonnes choses et ai laissé le four faire le reste. À l’heure du souper, les travailleurs ont pu célébrer l’atteinte de leur objectif de la journée (mettre la céramique sur tout un mur) en dégustant un excellent repas, cuisiné avec un minimum d’efforts.
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Côtelettes d’agneau en sauce vite faite
22 décembre 2005 | Martine GingrasCeci est la 491ième recette publiée sur les Banlieusardises… Plus que 8 avant la 500ième!
Futurs parents gourmets ou gourmands, rassurez-vous: avoir un bébé n’est absolument pas incompatible avec les bons repas… Chaque soir, je cuisine, je photographie, nous nous délectons, et mon doux déclare souvent que «ce serait du bon stock pour les Banlieusardises!» Non, mon adorable progéniture n’est pas incompatible avec notre vie gourmande, mais elle l’est avec les mises à jour des Banlieusardises. Que de victuailles ont fait le bonheur de nos papilles ces derniers jours, sans jamais que je trouve le moment d’en parler ici!
C’est dommage, bien dommage, car si je diffuse mes recettes, c’est d’abord et avant tout pour y avoir accès, dans x années, quand mon doux me demandera de lui refaire «tsé, là, ton poulet au beurre?» Comme je cuisine à l’oeil, si je ne note pas ici comment j’ai procédé dans les jours qui suivent le repas, je ne pourrai tout simplement jamais le refaire de la même manière. Alors tant pis pour nous, on ne remangera pas de ma mousse de foies de volaille aux abricots et au porto (inspirée de Di Stasio), de mon poulet au beurre, de mon émulsion crémeuse de poivrons et que sais-je encore… mais on pourra toujours remanger de ces côtelettes d’agneau en sauce vite faite, puisque je prends un moment pour rédiger la recette ;-)
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Hamburger steak de bison en sauce mielleuse aux morilles
7 novembre 2005 | Martine GingrasBanal, le hamburger steak? Mais pas du tout! Il suffit d’un peu d’imagination et de quelques ingrédients savoureux pour transformer ce classique en pur délice. C’est en tout cas l’avis de mon doux, qui s’est délecté de ma version de … Suite
Rôti de palette de veau aux pommes
6 novembre 2005 | Martine GingrasJe l’avais déclaré en tant que nouvelle maman allaitante une semaine après l’accouchement, et je le redis en tant que moins nouvelle maman, toujours allaitante et souvent haletante: la cocotte de terre cuite est une bien précieuse alliée à la cuisine!
Pour ceux qui ne connaîtraient pas encore mon instrument de cuisine fétiche, il s’agit d’une cocotte Cordon Bleu (mais on trouve plus courrament les marques Shlemmertopf et les Römertopf) qui a la particularité d’être faite en terre cuite (voir photo par-là). Le fond de la partie du bas est vernissé, ce qui facilite le nettoyage (mais les cocottes Römertopf, dont le fond n’est pas vernissé, s’entretiennent très bien aussi). Pour l’utiliser, il faut immerger la cocotte dans de l’eau froide pendant une trentaine de minutes avant la cuisson, afin qu’elle se gorge d’eau. On pourrait y déposer la viande directement, mais je préfère pour ma part la faire dorer au préalable, ce qui la rend savoureuse. Puis, on place les aliments dans la cocotte, on la referme, on la place au four froid avant de l’allumer, et on laisse cuire longuement au four à feu doux. On n’a pas besoin d’ajouter de liquide, ou si peu, puisque l’eau contenue dans la terre cuite va être vaporisée à l’intérieur au fil de la cuisson, assurant une viande d’une tendreté incomparable, à tout coup!
Si la cuisson avec ce type de cocotte est longue, le temps de préparation est quant à lui réduit au minimum, ce qui permet de jouer au salon avec la petite, de faire une sieste, ou même d’aller prendre une bonne marche dans le quartier. Pendant ce temps, la cocotte travaille pour moi… et ça sent bon dans toute la maison!
Au menu hier soir: un rôti de palette de veau, que j’ai préparé avec des pommes, de l’ail, du romarin, des oignons, un peu de cidre et de la sauce soya. Temps de préparation: une dizaine de minutes, tout au plus, pour un pur délice d’automne!
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Rôti de palette de boeuf aux tomates italiennes… bis!
29 octobre 2005 | Martine Gingras19h. La petite dort déjà. Aussi tôt, c’est du jamais vu, mais avec toute l’énergie qu’elle a mise à ramper toute la journée, il fallait s’y attendre! Je ne vais sans doute pas tarder à l’imiter, car je passe mes journées à ramper à sa suite, autant pour le plaisir que pour évaluer les dangers potentiels et rendre la maison plus sécuritaire. Ça fatigue sa femme.
Avec un peu de temps devant moi avant de tomber de sommeil, j’ai pensé mettre la recette du repas de ce soir en ligne, mais j’ai eu la bonne idée de revisiter mes archives auparavant… j’y ai découvert un rôti de palette de boeuf aux tomates italiennes qui n’avait pas grand chose à envier au délicieux plat mijoté de ce soir. C’était presque le même plat, à quelques détails près, notamment un peu de pimentón, un paprika épicé et fumé qui a merveilleusement bien relevé la viande ce soir.
Ah, oui, et j’ai aussi fait griller la viande des deux côtés à la poêle, afin d’en faire ressortir toute la saveur, avant de la déposer sur un lit d’oignons et de tomates italiennes dans la cocotte de terre cuite.
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