Poissons et crustacés
Pouvez-vous croire que pendant des années, je boudais les fruits de la mer? Que de temps perdu à rattraper, à grand renfort de mollusques, de coquillages et autres poissons!
Steak de thon mi-cuit aux anchois et aux câpres
12 octobre 2007 | Martine GingrasAprès une soirée d’huîtres crues où il a fallu user de ruse pour que ma «grande» nous en laisse un peu, c’est un steak de thon mi-cuit qu’il m’a fallu défendre contre son avidité, négociant serré pour qu’elle mange quelques … Suite
Ceviche au shiso vert et aux pétales de souci
13 août 2007 | Martine GingrasNon, je ne boude pas mes ronds au gaz fraîchement rebranchés… mais pendant la belle et chaude saison, j’aime trop manger frais et cru. Alors encore hier, à notre table, il y avait un ceviche à l’honneur.
Je ne … Suite
Crevettes et tomates au piment d’Espelette
25 avril 2007 | Martine GingrasExit les plats mijotés, voici une autre recette qui goûte l’été. C’est une petite entrée toute simple dont le seul secret est de réunir de savoureux ingrédients frais: une belle tomate, des crevettes de Sept-Îles, du jus de citron, une bonne huile d’olive et une pincée de piment d’Espelette.
Le plus long, c’est de décortiquer les crevettes. Surtout si votre grande fille de deux ans se découvre une passion dévorante pour les oeufs, et refuse que vous vous attaquiez à la prochaine petite bête rose tant qu’elle n’a pas systématiquement vidé les petites perles précieuses de la précédente!
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Thon fumé et sa sauce de tomates fraîches, câpres et roquette
26 novembre 2006 | Martine GingrasD’appétissantes tranches de thon fumé achetées plus tôt cette semaine, un peu d’aneth restant du ceviche préparé il n’y a pas si longtemps, et le vague souvenir d’un antipasto cuisiné par mon beau-père au chalet il y a quelques années… Le résultat de tout ceci mis ensemble était parfait pour ravitailler ce midi la petite famille au retour d’une marche en forêt. Même je-suis-dans-ma-phase-du-non-et-je-n’aime-plus-rien en a redemandé, c’est tout dire!
J’ai présenté le thon et sa sauce dans de grandes assiettes, comme repas principal; on pourrait aussi le servir en guise d’antipasto, sur des croûtons de pain.
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Ceviche de saumon et de mangue à l’aneth
11 novembre 2006 | Martine GingrasJe vous le dit tout de suite: ce plat réussit une chose qui ferait l’envie de bien des chefs de partis politiques.
Passez votre chemin si vous n’en pouvez plus de voir des recettes de ceviche (je crois que c’est le plat pour lequel j’ai diffusé le plus de variantes ici), mais moi, je n’ai pu passer le mien quand je suis tombée sur un magnifique filet de saumon bio de Norvège dans l’étalage de poissons. Comme il y avait déjà une mangue bien mûre et du citron dans mon panier d’épicerie, ce que j’allais cuisiner est apparu comme une évidence…
Comme toujours, il y avait un petit quelque chose de neuf à savourer. Cette fois, c’est du côté des fines herbes que j’ai exploré, osant transgresser mon mariage favori de mangue et de coriandre (elles vont si bien ensemble), pour plutôt choisir l’aneth pour relever l’ensemble.
Quel rapport avec la politique? On nous promet toujours la continuité dans le changement, ou le changement dans la continuité, histoire d’aller chercher les votes de ceux qui veulent du changement, sans perdre ceux qui cherchent le statu quo. Ma suggestion: parsemez votre programme d’un peu d’aneth!
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Crevettes grésillantes aux tomates, poivrons et manchego
21 octobre 2006 | Martine GingrasL’un de mes livres de cuisine les plus inspirants m’a été offert il y a plusieurs années de cela: Le fromage, une passion, de Paul Gayler. Les photos sont alléchantes à faire baver, tant et si bien qu’après quelques années, les feuilles sont maintenant toutes gondolées. Allons, bon, j’exagère, mais à peine… ;-)
Les quelques recettes que j’ai essayées étaient excellentes, dont l’une au point de devenir un classique chez nous: les crevettes grésillantes avec sofrito, poivrons et manchego. C’était la première fois que je voyais le terme sofrito, qui est le nom donné au mélange classique d’oignons, ail et tomates qu’on laisse épaissir au début de cette recette. Nous sommes sans doute nombreux à cuisiner le sofrito à notre insu, tout comme monsieur Jourdain faisait de la prose sans le savoir!
Je ne me lasse pas de refaire ce plat, et j’ai eu beau vouloir y mettre du mien pour l’améliorer, en variant le fromage ou les légumes, je n’y arrive pas: il est vraiment parfait tel quel. Alors j’y suis fidèle…
Très, très, très fidèle! Tout ce que j’ai ajouté dans la version d’hier soir, c’est un peu de pimentón, qui relève l’ensemble plus que le paprika de la recette originale. Ah, et aussi, je n’ai pas réalisé un vrai sofrito, puisque j’ai ajouté de l’oignon vert en fin de cuisson au lieu de faire revenir de l’oignon en début de cuisson.
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