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Cuisine

Mes meilleures recettes pour pimenter le quotidien en famille.

Mille-feuille de veau et de patate douce au foie gras

26 février 2009 |

Imaginez un peu: une présentation étagée de fines escalopes de veau et de patates douces, chapeautée d’un morceau de foie gras. C’est-y pas le rêve, ça?

Eh bien non, en fait. C’était tout juste bien. Sans être ratée, la recette … Suite

Salade de carotte et d’orange sanguine aux baies roses

15 février 2009 |

Imaginez des parents, amateurs de bon manger, qui ne sont pas sortis en tête-à-tête depuis au moins deux ans. Possiblement plus. Imaginez que ce soit la Saint-Valentin. Et supposez que des personnes de bonnes volonté se proposent de garder leurs enfants ce soir-là. Mieux encore: de les garder à dormir.

Avec votre imagination décidément très fertile, vous vous dites, avec raison, que ces parents vont se planifier une belle sortie au resto pour célébrer dignement la fête de l’aaaaaaamour. Et de fait, ils vont la planifier. Passer la semaine à discuter des avantages respectifs de plusieurs bonnes tables: la proximité de celle-ci, la réputation de celle-là…

Discuter, oui. Des parents qui ne sont pas sortis depuis si longtemps n’ont tout simplement pas en tête qu’il faille réserver une table. Ils ont l’inconscience d’attendre au vendredi matin, la veille de la Saint-Valentin, pour appeler. Évidemment, c’est COMPLET. Partout!

Qu’est-ce qu’ils font, ces parents? Pas question de remettre la fête de l’aaaaamour à plus tard après en avoir rêvé toute la semaine! Les parents ont mis la moitié du budget resto sur un souper maison délirant et une excellente bouteille. De source sure, le menu allait comme suit…

Foie gras poêlé

Salade de carotte et d’orange sanguine aux baies roses

Cuisses de lapin confites

Pain, fromages du Québec et noix d’acajou pralinées à l’érable

Gâteau au caramel à la fleur de sel

Un repas de luxe, mais tout simple et rapide à préparer. Le foie gras était simplement relevé à la fleur de sel, les cuisses de lapin déjà confites et le gâteau est une nouveauté du Petit Montmartre, le repaire des gourmands à Rosemère. De manière assez farfelue, c’est la préparation de la salade de carotte qui a exigé le plus de soins!

salade_orange_sanguine

Au moment d’entamer le dessert, nous euh je veux dire… ces parents-là ont réalisé que trois heures s’étaient déjà écoulées depuis l’entrée! Et constaté qu’il y avait finalement de multiples avantages à fêter à la maison… ;-)
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Petites tartes garnies de tomates

28 janvier 2009 |

Si je vous dis que je me suis laissée inspirer par une recette de Martin Picard, patron du resto Au pied de cochon, tirée du décadent livre du même nom, vous aurez tout de suite sa célébrissime poutine au foie gras en tête. Eh non. Ma mienne de poutine, je l’aime all-dressed. Mais le foie gras, les rares fois où je décide de m’en payer, j’aime autant le savourer dans sa plus simple expression, avec de la fleur de sel et un bout de pain. Cela dit, si l’idée vous allèche, allez faire un tour du côté de chez Tarzile, qui a déjà coiffé une poutine de foie gras et donne sa version de la recette!

Revenons au livre du chef Picard, que j’ai décidé de feuilleter hier alors que j’étais pourtant pressée de cuisiner. Il regorge de recettes plus décadentes les unes que les autres: tarte de boudin au foie gras, ragoût de boulettes aux pattes de cochon, sans compter les incontournables oreilles de crisse et les bines… pas exactement le genre de recettes qu’on peut cuisiner à la sauvette, hmmm? Et pourtant, entre les pages dégoulinantes de foie gras, une petite tarte délicate et simplissime m’a attirée.

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Ça s’appelle une tarte, et c’est effectivement une pâte brisée qui sert de base, mais au lieu de la mettre dans un moule à tarte et la remplir, on la laisse à plat et on la garnit, à la manière d’une pizza.

Le sieur cochonnesque y met béchamel refroidie et moutarde avant d’y déposer fromage et tomates tranchées… mais faute de temps pour cuisiner la béchamel (et encore plus de la laisser refroidir), j’ai simplement tartiné ma pâte d’un reste de sauce pour pâtes du commerce (sshhhhh, une honte, je sais, mais la faim justifie les moyens…)
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Chevreuil bourguignon

16 janvier 2009 |

Un des grands avantages d’avoir des enfants, c’est que la famille élargie se fait désormais un devoir de cuisiner des plats en grande quantité pour en offrir et ainsi sauver un peu de temps aux parents (qui peuvent ainsi le réinvestir en temps de qualité avec leur progéniture, c’est-à-dire glisser, faire de la pâte à modeler, du coloriage et regarder BabyTV sur Illico).

Au moment d’écrire ces lignes, j’ai deux gros pots de «bines» de mon père au frigo, des poivrons farcis et des cretons au congélo… et en tête, le doux souvenir d’un repas cuisiné par mes beaux-parents et dégusté en leur compagnie ce week-end (si, si, vous avez bien lu: ils s’invitent à manger et apportent tout ce qu’il faut… avouez que, côté beaux-parents, on fait difficilement mieux). Au menu: chevreuil bourguignon.

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Dixit ma belle-maman, «les ingrédients sont faciles à se procurer sauf le chevreuil qu’il faut aller chasser»… Non seulement ils cuisinent bien, mais beau-papa chasse. C’est-y pas merveilleux, ça?
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Raclette à l’heure du brunch

28 décembre 2008 |

On les aime, nos enfants. Mais surtout, on les aime charmants avec la visite. Et pour qu’ils soient adorables, ils doivent avant tout être REPOSÉS. Recevoir le midi empiète immanquablement sur l’heure de la sieste de l’après-midi… DANGER! Recevoir le soir oblige soit à repousser un peu trop l’heure du dodo… DANGER aussi! À moins qu’on fasse participer les invités au rituel du soir, ce qui peut être, j’en conviens, assez amusant…

On finit par préférer les formules «intermédiaires», mélangeant deux repas en un: il y a le classique brunch (contraction entre breakfast et lunch), qui permet à la visite d’arriver alors que les enfants sont joyeusement réveillés et de partir juste avant la sieste. Il y a maintenant aussi le slunch, un souper-lunch, néologisme dont m’a instruite ma copine des Peccadilles, qui est aussi le thème du dernier livre de la blogueuse Pascale Weeks, un petit goûter servi à l’heure du thé… soit juste après les siestes. On n’a toujours pas eu l’occasion de tester la formule, mais ça viendra certainement…

Pour le repas familial de Noël, cette année, on a organisé un brunch avec mes parents au lieu de les inviter à souper. Au menu, une raclette bien spéciale, adaptée à l’horaire: les fromages étaient moins corsés que pour une raclette traditionnelle, et au lieu de proposer des viandes à griller sur la plaque, on versait du mélange à crêpes de sarrasin et on faisait dorer du pain. Dans les barquettes, chacun composait selon son inspiration: pommes de terre, canard séché, rôti maison, fromage, fruits…

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Je me souvenais avoir vu l’idée d’un tel concept dans un feuillet publicitaire des épiceries IGA, l’an dernier… je ne sais plus trop ce qu’il y avait sur leur table, mais si ça peut vous inspirer, voici ce qu’il y avait sur la nôtre le 25 décembre!
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Bouchées de crêpes de sarrasin farcies

26 décembre 2008 |

En vacances, la frontière entre le déjeuner, le dîner et parfois même le souper devient floue… on se spécialise dans les repas passe-partout, comme ces galettes de sarrasin farcies…

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… qui sont vraiment irrésistibles, à preuve, pas moyen de prendre une photo sans que bébé m’en vole un morceau!

J’ai farci celles-ci aux oeufs et au fromage, mais on pourrait aussi y mettre des olives, du jambon, des courgettes ou des aubergines grillées… bref, pas mal tout ce que vous pouvez imaginer!

Pas envie de faire une préparation à crêpes? Allez-y pour une variante: les pointes de quesadillas à la tapenade et au chèvre.
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