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Articles de cuisine

Mon matériel de cuisine favori, mes plus récents achats, mes bonnes adresses gourmandes…

Barbe à papa à l’érable

20 mars 2011 |

Rose, jaune, bleue ou multicolore, la barbe à papa est un incontournable des fêtes foraines. Mais une version toute blanche et naturellement aromatisée est en passe de devenir un nouveau classique de nos parties de sucre: en effet, les cabanes … Suite

Cinq idées cadeaux pour un Noël gourmand

19 décembre 2010 |

À cinq jours de Noël, vous n’avez pas encore déniché quoi offrir à votre chef du dimanche ou une copine gourmande? J’ai réuni pour vous quelques idées cadeaux pour les amateurs de bon manger…

1. Des gourmandises cuisinées maison

Les … Suite

Quatre petits électros pratiques à la cuisine

5 juillet 2010 |

Les petits électros: grand-mère cuisinait très bien sans eux, mais nous, on ne s’en passerait plus! À un point tel que si un de nos appareils nous lâche, on est pressé de le remplacer. Pas question toutefois de choisir à … Suite

Des pinces vraiment attachantes

4 janvier 2010 |

Il y a dans ma cuisine une armoire maudite. Dans le sens qu’on va immanquablement finir par sacrer si on l’ouvre… C’est celle des ingrédients secs: sacs, sachets et boîtes de semoule, de légumineuses et de pâtes y sont empilés … Suite

Mon nouveau presse-ail de luxe: l’Epicurean de Kuhn Rikon

20 février 2008 |

Depuis toujours, j’ai un presse-ail dysfonctionnel acheté pas trop cher — probablement au Dollorama — à une époque où je cuisinais à peine, juste parce que ça semblait être un item nécessaire dans une cuisine. Un de ces presse-ails munis d’une petite pinouche qui permet de nettoyer « facilement » la grille après avoir pressé l’ail (mais dans les faits, on doit systématiquement s’acharner dedans avec une fourchette pour sortir les restes). Un de ces presse-ails qu’on finit par laisser au fond du tiroir en clamant haut et fort que l’ail mérite mieux que de finir ses jours ainsi, et notre fierté de faire partie du club de ceux qui n’utilisent pas de presse-ail, préférant de loin hacher l’ail au couteau. Si, si, on insiste: c’est une préférence, et on en est fier.

La vérité, c’est qu’au nom de cette fierté mal placée, je n’utilise presque plus d’ail dans mes recettes. La petite minute nécessaire à écraser la gousse avec le plat d’un couteau, enlever la pelure et hacher le tout bien menu, c’est la petite minute qui manque à ma vie (elle et quelques autres aussi, je dois dire).

Récemment, quand j’étais bien certaine qu’il n’y aurait pas de témoins, j’ai commencé à ressortir le presse-ail en cachette. Pour constater que je ne suis pas si puriste que je l’affirmais fièrement. Pour conclure que je n’en ai pas, moi, de problème avec l’idée que l’ail soit écrasé plutôt qu’haché finement. Mais aussi pour réaliser que j’étais plus que due pour un nouveau presse-ail!

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Si j’ai gardé ma vieille patente pendant une quinzaine d’années, le prochain presse-ail pourrait bien me durer toute la vie. Alors autant prendre le temps de bien le choisir…
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Yogourt maison: une expérience juste un peu frustrante

12 février 2008 |

Je me prends parfois à rêver de petits déjeuners chaque jour réinventés, ponctués de cuillerées blanches et onctueuses de yogourt maison, tantôt parsemé de petits fruits, tantôt sucré au sirop d’érable ou au miel, ou simplement dégusté nature… rhaaaaaaa… et puis je fais l’inventaire de ce qui s’empile dans les armoires et sur les comptoirs de cuisine: sorbetière, créature à raclette, four grille-pain, cafetière espresso, centrifugeuse, presse-agrumes, robot culinaire, mixette, friteuse, déshydrateur. Pfff! J’ai conclus que si une yaourtière rentrait ici, une autre machine devrait sortir. Et puis j’ai oublié l’idée.

Mais il y a quelques jours, elle a insidieusement refait son chemin. C’est un peu, beaucoup, voire même entièrement la faute de la frustrée, qui a partagé sa technique étape par étape. Après lecture, il n’y avait toujours pas plus de place dans mes armoires, mais je commençais soudain à imaginer ma vie sans crème glacée maison, ou sans raclette, ou sans saumon confit, afin de me lancer à mon tour dans l’expérience du yogourt maison…

Et puis je me suis souvenue que mon père en avait une, de yaourtière. Et que bien qu’il préparasse (?!?) du yogourt à l’occasion, sa machine était inutilisée depuis plusieurs mois. Alors j’ai remis à plus tard la négociation de l’espace dans la cuisine, et je l’ai tout simplement… empruntée. Un emprunt, ça ne prend pas de place dans les armoires: on le laisse toujours à vue, comme si on était sur le point de le remettre. Et surtout, on l’utilise. À preuve:

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Mon premier yogourt maison! La texture est parfaite: il est ultra-riche, ultra-crémeux, ultra-bon… même la grande en a redemandé par deux fois après y avoir d’abord goûté du bout des lèvres! D’accord, elle a aussi exigé que je le noie dans le sirop d’érable, mais quand même, il y a l’ombre d’un soupçon d’un début de témoignage d’appréciation.
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