À proposMartine Gingras
Le plan d’un plat
18 février 2006 | Martine GingrasCeci n’est pas une 500ième recette…
Vous arrive-t-il d’avoir une idée de plat à cuisiner, de le préparer, de le déguster, de trouver ça bien bon, mais de réaliser à la toute dernière bouchée que vous avez complètement oublié d’y mettre un ou plusieurs ingrédients? Ça m’arrivait parfois avant, mais depuis que je suis maman, ça m’arrive tout le temps! Avec une petite pendue à mes pantalons (je ne porte pas de jupe en hiver!), on perd le fil, et on le perd souvent.
Une fois qu’on a constaté la chose, deux possibilités: A) se satisfaire de ces «plats décousus de fil blanc» (!), ou encore B) se donner des trucs pour ne rien oublier! La plupart du temps, c’est l’option A qui est au menu, mais il m’arrive de tenir mordicus à ne rien oublier, alors je passe en mode B. Surtout quand je reçois!
C’était le cas hier: je devais recevoir et je ne voulais pas décevoir, alors je suis passée en mode B. Puis j’y suis restée, même si je n’ai finalement pas reçu. Ce que j’ai fait pour ne rien oublier? Un PLAN du plat à préparer, rien de moins! Je vous jure, ce n’est pas une blague… la preuve:
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Paradoxes céréaliers
17 février 2006 | Martine GingrasLa bavette couvre essentiellement la base du cou et la poitrine d’un bébé. Les céréales couvrent essentiellement les manches, les cheveux, les oreilles, les cuisses, les trous de nez et les bas d’un bébé.
Une cuillère bien remplie de céréales pour bébé peut servir à s’alimenter ou à catapulter. Un bébé maîtrise la seconde fonction bien avant la première.
Passer une bavette autour du cou de bébé donne beaucoup d’espoir, peu de résultats et du lavage supplémentaire.
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Clin d’oeil d’une poupée à ma fille
15 février 2006 | Martine GingrasHier, je m’amusais à faire des macros avec mon nouvel appareil photo…
Ça ne vous rappelle pas quelque chose?
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Tout chaud, tout froid, au Centre de la nature de Laval
12 février 2006 | Martine GingrasFaisait frrrroid aujourd’hui. Trrrrès frrrrroid. Mais si beau! Chaudement vêtus, nous sommes sortis marcher au Centre de la nature de Laval, dont je connaissais surtout le visage estival, avec ses sentiers bordés de jardins magnifiques dans lesquels ils fait bon marcher, ou même faire du cardio-poussette!
L’hiver, les activités d’extérieur y sont à l’honneur: patin, glissade, ski… ou tout simplement la marche! J’avais prévu m’amuser un peu en extérieur avec nouvel appareil photo numérique, mais mes doigts ont finalement préféré rester bien au chaud dans les mitaines presque tout le long. Tout de même, après promesse d’aller ensuite les réchauffer, ils ont accepté de braver la froidure pour immortaliser une statue pour enfants:
Bon, je dis «pour enfants», mais il n’y a pas d’âge pour apprécier les oursons de ciment ;-)
Fidèles à la promesse faite à mes extrémités, nous sommes ensuite allés visiter la ferme aux animaux, avec le coq-cocoricooooo, la poule-cot-cot-cot, le cochon-rhon-rhon-rhon, la vache-meuh-meuh, le cochon d’inde sans poil-s’cuse-ma-chouette-maman-sait-pas-le-faire-celui-là, le cheval-awigna-han, l’âne-hi-han, la chèvre-ouch-mon-pied-y’a-plein-de-monde-on-ressort…
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Bouteille d’huile à portée de main
11 février 2006 | Martine GingrasÀ ma grande honte, je n’ai toujours pas avancé le dossier de la 500ième. Je m’interdis toute publication de nouvelle recette d’ici à ce que ce soit réglé, mais je me permets une digression culinaire…
Si ma cuisine était une scène de crime, les enquêteurs jubileraient: trois indices pour le prix d’un! «Attention à toutes les équipes: on sait que le suspect a utilisé de l’huile d’olive, de la farine, et on a même ses empreintes digitales en prime…»
Mais bon, ma cuisine n’est pas une scène de crime. C’est une scène de la vie quotidienne toute bête, une preuve de plus, s’il en fallait, qu’on ne fait pas d’omelette sans casser des oeufs… ou plutôt, qu’on n’enfarine pas grand chose sans s’enfariner soi-même… ou plutôt qu’on ne s’enfarine pas soi-même sans enfariner tout ce qu’on rencontre…
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Oeufs de cane farcis
4 février 2006 | Martine GingrasCeci est la 499ième recette publiée sur les Banlieusardises… La toute dernière avant la 500ième!
J’ai beau repousser le moment fatidique en ne publiant mes recettes qu’au compte-goutte, avec celle-ci, l’heure de vérité vient de sonner…
C’est une petite variation toute simple sur un classique: les oeufs farcis. Ceux que nous avons mangés ce midi était des oeufs de cane, et pour les farcir, j’ai mélangé aux jaunes des rillettes de truite fumée (on pourrait aussi utiliser de la truite fumée hachée finement), du pesto de tomates séchées (on pourrait aussi utiliser des tomates séchées hachées finement) et de la mayonnaise (si on tient vraiment à me tenir tête et à tout changer, on pourrait elle aussi la remplacer par autre chose: crème sure, crème fraîche, yogourt…)
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