Vol-au-vent au poulet et olives… bis!
C’est dur, de se réinventer quotidiennement! Allons, allons, ne te mets pas tant de pression… qui te demande de te réinventer? Personne ne me le demande, en effet… mais quand on ouvre un blogue culinaire, il faut s’assumer, et pimenter sa cuisine de nouveauté, assaisonner chaque recette d’unicité si on veut la rendre publiable. À partir de ma énième recette de rôti de palette, vous allez bien finir par trouver que je me répète, non?
D’où mon silence. Ces jours-ci, je presse ma créativité culinaire comme un citron pour que les piges qu’on m’a commandées soient à la hauteur des attentes. Pour la cuisine au quotidien, je me suis retranchée dans mes classiques: le steak au poivre vert, les pâtes et les salades «extra tes restes», le gravelax, les burritos, les sautés asiatiques, les galettes de sarrasin au petit-déjeuner, le poulet grillé… rien de neuf sous le soleil, donc rien à publier!
Je pensais bien avoir enfin quelque chose pour vous avec ces vol-au-vent au poulet et olives…
Je voulais vous dire à quel point les olives salaient délicieusement le tout, ajoutant une touche unique et nouvelle pour moi… mais alors que je retroussais mes manches pour me mettre à la rédaction, le coeur joyeux, j’ai eu un doute.
Une petite recherche m’a appris que j’avais non seulement déjà cuisiné des vol-au-vent au poulet et olives, mais pire: la recette que je m’apprêtais à rédiger allait être la même, mot pour mot, que l’ancienne, à un détail près: cette fois, j’y ai mis des dés de poivron rouge. Et peut-être un peu plus de lait, pour une béchamel moins épaisse.
Alors permettez que je m’évite de radoter la liste des ingrédients et les étapes de préparation: mettez juste un peu plus de beurre et faites simplement fondre des dés de poivrons à feu doux avant d’y ajouter la farine. Et mettez-y plus de lait.
Je vous reviendrai éventuellement avec une recette originale. Enfin, j’espère. Sinon, eh bien j’espère que vous aimez les histoires de rénovation, car ça s’en vient!
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Martine, tu nous fais vraiment languir avec tes futures histoires de rénovations, moi je m’en réjouis déjà.
Au fait, je me demandais, le fait que la section rénovations soit classée dans l’onglet « Loisirs »…est-ce que c’est parce que vous aimez tellement ça que pour vous c’est un pure moment de détente? Ou encore parce que pour l’instant, c’est uniquement dans vos rares moments de loisirs parmis tous vos autres loisirs que vous vous y consacrez? En tous cas, avec le sous-sol à finir, ça risque de devenir un travail à temps plein et comme nous, vous appelerez « loisirs » TOUT ce qui vous éloignera des rénovations!!
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Il faut être passé par-là pour remarquer ce détail ;-) En fait, dans des temps immémoriaux, la rubrique des loisirs s’appelait vaguement « divers ». Comme j’avais surtout parlé de loisirs, j’ai décidé de la rebaptiser. Même si j’y parle de quelques trucs qui ne sont pas vraiment des loisirs (à moins d’avoir des hobbies très louches), c’est resté la rubrique fourre-tout.
J’aime quand même mieux parler de rénovations sous les Loisirs que sous les Soins… mou ha ha!
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ça fait longtemps que je n’ai plus fait de vol au vant et c’est un tord
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Il a l’air délicieux ton vol au vent.
bye
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Et pour moi, qui est nouvelle sur ton blogue (que j’adore et qui est rapidement devenu une référence!,) c’est la première fois que je vois cette recette!
Je l’essayerai sans faute. Merci!
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Et pour moi, qui est nouvelle sur ton blogue (que j’adore et qui est rapidement devenu une référence!,) c’est la première fois que je vois cette recette!
Je l’essayerai sans faute. Merci!
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Merci, ça fait vraiment plaisir :)
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Savais-tu que tu es une muse?!
Quand je manque d’inspiration, je viens souvent fouiller dans tes archives en faisant une recherche avec les ingrédiants que j’ai sous la main. Mais, ce soir, c’est ta première page qui est tombée pile!
Je viens de sortir la pâte feuilleté et du poulet cuit du congélateur. C’est exactement de ce genre de mets dont j’avais envie! Faute d’olives et de vrais vol-au-vents, je vais faire quelques modifications à ta recette (ça va finir en baluchons au poulet, asperges et Jarlesberg), mais je te remercie encore pour tout le temps que tu mets à nous partager tes talents et pour archiver tout ça!
En passant, j’ai aussi commencé à fouiller tes archives de la rubrique Maternité… ;-)
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Épicurienne,
Ouaip, c’est notre muse notre chère Martine. Je ne sais comment de fois j’ai trafiqué ces recettes mais l’inspiration première de bien des repas où j’invite des amis, c’est banlieusardises qui me la fournit.
En fait, Martine occupe la même place que mes bons livres de recette. Quand je trouve rien d’intéressant avec Pinard, Martine et le Larousse, je me rabats sur google. Mais le plaisir, c’est de faire un cassoulet en mixant les idées de Martine et de Pinard. Joie;)
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Épicurienne et niala, à vous lire, j’en conclus qu’on a la même approche en cuisine: on surfe et on lit juste assez pour s’inspirer, puis on s’amuse :)
Et puis Épicurienne encore… Mes plus sincères FÉLICITATIONS! Avec une année de congé de maternité, les deux en même temps, peut-être arrivera-t-on ENFIN à s’organiser une petite rencontre au sommet?
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Merci et félicitations encore à toi aussi!
Je serais ravie de provoquer une rencontre! Ça va bientôt faire cinq ans qu’on remet ça!
Mon année de congé devrait toutefois être un peu décallée par rapport à la tienne. Je n’ai pas encore eu d’échographie (c’est pour bientôt), ni donc d’estimation sérieuse de la date d’accouchement, mais mes calculs imprécis (basés sur une date difficile à déterminer) suggèrent octobre.
On se tient au courant de nos déplacements entre la Vieille Capitale et la Métropole!
Vous aimez le blogue? Il y a maintenant le livre, publié en 2010 chez Trécarré!
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