Un petit air d’automne
À peine septembre, et ça sent déjà l’automne. Alors que je m’occupe de croquer les premières couleurs rougeoyantes qui apparaissent ici et là sur le terrain, une libellule s’attarde sur une rudbéckie fanée.
Voici l’une des, sinon LA toute dernière hémérocalle à avoir fleuri cette année chez moi. Je ne connais pas le petit nom de cette beauté rouge, mais c’est une variété relativement commune, du moins, chez moi!
Difficile de s’attrister que ce soit déjà la fin de la floraison, quand on considère la beauté des couleurs de son feuillage:
Et vive la saison des feuilles!
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Tout simplement superbe!
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Effectivement, tes photos sont supêrbes. Ton appareil te permet vraiment de faire de super macros! :-) bravo à la photographe qui a su saisir l’instant!
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Un vrai travail de pro tes belles photos.Ton appareil doit être de très bonne qualité .
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Wow!
On s’y croirait presque… Les couleurs sont incroyable. -
Très belles photos!!! J’adore la première.
Tu devrais venir près de chez moi car nous avons beaucoup de libellules qui tournoient dans les parages… -
La libellule est très photogénique !!
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J’ai failli laisser un commentaire quasi identique à celui de ma soeur Marie-Pascale! ;c)
Bravo! Tu ne cesseras jamais de m’impressionner par ton talent de photographe!
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Pour moi, le pollen des fleurs a commencé a fermenter! Ta libellule a l’air que j’avais dimanche matin passé…
Une Bud, deux verres d’hydromel, 4 boutanches de blanc à 4 dans un conventum AA, une initiation au dead brain’s man entre la crême brûlée et le café espagnol, cibole…
Ça a pris des tranches de cocognes sur les châssis!
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Mais, quel zoom! Tes photos sont tout simplement géniales!
J’ai joué aux Banlieusardises sur mon blogue en exposant une photo de mon brocoli raté! Comme quoi le jardinage n’est pas à la portée de tous! ;0)
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J’ai bien essayé ces deux dernières années de faire pousser de magnifiques choux-fleurs Véronica (ma-gni-fi-que variété qui a l’air d’une fractale), mais en vain. Quand ce n’est pas la mouche du chou qui fait des trous, c’est la piéride qui fait des siennes, ou alors le charançons, ou que sais-je encore. Et si on n’a aucun ravageur pour sauver notre honneur, on nous dira que c’est notre compost qui n’est pas assez vieux, ou encore la pluie qui n’est pas assez mouillée, ou alors le soleil qui ne luit pas assez (i.e. mais quelle drôle d’idée vous avez eue de mettre le potager dans ce coin de la cour!)
J’ai jeté la serviette et décidé que les chou de l’épicerie me convenaient parfaitement (ils ne sont pas en fractales, mais au moins, ils sont, tout court), préférant garder mon précieux espace potager pour des plantes plus productives et reconnaissantes de tout le temps que je leur consacre.
Alors Madame Une Telle, avec moi, haut et fort, vocifère: À bas les crucifères! À bas les crucifères!
Je t’envoie des semences de folles tomates quand tu veux ;-)
Vous aimez le blogue? Il y a maintenant le livre, publié en 2010 chez Trécarré!
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