Monthly Archives: avril 2005
Théière Yixing
3 avril 2005 | Martine GingrasLa vitrine bondée de théières d’un nouveau magasin de thé ouvert à la Place Rosemère a attiré mon attention. En fait, c’est une théière en particulier qui m’a captivée, encore plus, j’en suis certaine, que la lampe magique a attiré … Suite
Mon beurrier breton
2 avril 2005 | Martine GingrasJ’ai eu beau faire le tour de la Bretagne avec des amis Bretons, je ne me souviens pas avoir vu sur leur table de beurrier breton. Ni sur leur tête de chapeaux ronds, mais ça, c’est une autre histoire. Il faut dire qu’on me servait au petit matin de si bonnes crêpes que le plus beau des beurriers n’aurai pu m’en détourner!
C’est donc plutôt à un voyage en Gaspésie l’été dernier que remonte mon premier souvenir de rencontre avec un beurrier breton, chez Benoît et Mimi du Bleu sur mer.
Si vous n’avez jamais rencontré l’objet sur votre chemin, il s’agit d’un petit bocal en deux parties: le couvercle est muni d’un petit récipient dans lequel on moule le beurre, et on verse de l’eau fraîche dans la partie du bas. Lorsqu’on pose le couvercle, le beurre se trouve immergé dans l’eau, sans contact avec l’air qui peut le faire rancir.
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Avec le temps…
2 avril 2005 | Martine Gingras… mon cas ne s’améliore pas! Comment ai-je pu me plaindre de me lever à 5h du matin en 2002? Aujourd’hui, j’en rêve…
La bonne nouvelle, c’est qu’à partir de demain, il sera 4h à 3h, 5h à 4h et 6h à 5h. Que je n’en entende pas un ou une se plaindre de perdre une heure de sommeil, vu? ;-)
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Ne sors pas, petite!
1 avril 2005 | Martine GingrasTout le monde me disait qu’à la fin de la grossesse, j’allais être impatiente que le bébé sorte, que j’allais faire des pieds et des mains pour l’y encourager. Au risque de vous surprendre, c’est tout l’inverse.
Une contraction? Un peu de colostrum qui perle sur le mamelon? C’est la panique! Non, non, petite, n’arrive pas tout de suite…
Vous imaginez sans doute que c’est la crainte d’accoucher qui me tenaille. Même pas. Pas encore, du moins, car ça viendra sans doute, il paraît qu’on passe toutes par là.
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