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Monthly Archives: février 2005

Salade au cheddar fort et aux échalotes caramélisées

18 février 2005 |

La Presse a publié une série d’articles la semaine dernière sur la cuisson au micro-ondes. Comme bien des gens, j’utilise surtout l’appareil pour faire bouillir de l’eau et réchauffer des plats, mais je lui réserve aussi quelques usages culinaires: préparation des sauces et… caramélisation des échalotes!

salade_cheddar_echalotes.jpg

Je fais fondre un peu de beurre, j’ajoute des échalotes, et je fais cuire de 3 à 5 minutes, en mélangeant à toutes les minutes. Le résultat est à la fois croustillant et naturellement sucré, et se sert aussi bien sur un riz basmati pour accompagner un cari indien que dans une salade, comme je l’ai fait hier.
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Fondue sobre à la tomme, au comté et à la pomme

17 février 2005 |

Fondue-au-fromage-et-au-jus.jpgAvec la grossesse, j’explore des manières de relever les plats que l’on cuisine habituellement avec de l’alcool.

Cette fondue dite «sobre» en est un exemple: plutôt que d’y ajouter un bon vin blanc d’Alsace, j’ai opté pour un jus de pomme bio qui se mariait très bien au goût de la tomme (la mienne était affinée au cidre) et du comté. Ce serait aussi très bon de refaire l’expérience du jus de pomme avec ma fondue version emmental et gruyère, j’en suis sûre!
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Bortsch égoïste à l’aneth

13 février 2005 |

Borscht-011.jpgAyant déniché des betteraves Chioggia en faisant mon marché hier, j’ai décidé au retour à la maison de les apprêter en faisant un bortsch.

Le hic, c’est que les betteraves Chioggia sont fort jolies à admirer crues, mais qu’elles ne teintent pas le potage, qui prendra plutôt la couleur des carottes. N’empêche, c’est ce que j’ai décidé de cuisiner en ouverture d’un repas d’inspiration est-européenne. Appelons-le donc le bortsch égoïste»: il est conçu pour amuser la cuisinière pendant la préparation du plat, et non pour aguicher les invités. Bon. Et puis tiens, pour les invités, au lieu de mettre de la crème sure (souvent servie avec le bortsch), on peut toujours ajouter une spirale de crème 35% au moment de servir, qui rappellera les cercles concentriques de la betterave Chioggia! C’est «full concept», dirais-je si j’avais quelques années en moins…

Dans ce potage classique, on trouve souvent du chou, mais j’ai dû composer avec ce que j’avais sous la main, c’est à dire uniquement des carottes et des oignons. Alors faites vous aussi au gré des légumes que vous rencontrerez sur votre chemin!
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Betterave Chioggia

13 février 2005 |

betterave_chioggia.jpgL’un des grands plaisir d’avoir son propre potager consiste à explorer des variétés moins courantes, qu’on ne trouve pas ou rarement au supermarché.

L’an dernier, j’avais craqué pour la betterave Chioggia dans les catalogue de semis, car elle a ceci de particulier qu’elle présente des cercles concentriques blancs et rouges lorsqu’on la tranche.
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Frites-chips tricolores

12 février 2005 |

Frites-chips-tricolores-005.jpgAu menu de ma solitaire soirée d’hier: chanter à tue-tête dans le salon, regarder le troisième épisode d’Orgueils et préjugés à la télé et déguster une cuisse de canard confite! J’aurais été célibataire que je n’aurais pas fait mieux!

Pour accompagner le confit, je trouve que les frites-chips sont tout à fait appropriées. En fait, je préférerais pouvoir cuisiner de vrais chips maison, mais il me faudrait investir dans une lame de 2 ou 3mm pour mon robot… aux prix que ça coûte, je préfère donc adapter le nom de ce que je mange en baptisant ça des «frites-chips»: ça a la forme d’une croustille, mais une texture semi-ferme. C’est très bon!

Ma version d’hier a ceci de particulier que j’ai fait frire non seulement des pommes de terre à chair blanche, mais plutôt un mélange de trois couleurs: une blanche, une bleue et une orangée (qui était en fait une patate douce)!
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Valise d’hôpital: prévoir le nécessaire et le superflu!

11 février 2005 |

À très exactement huit semaines de la date prévue de l’accouchement, ma liste d’items à apporter à l’hôpital commence à être finalisée. Je ne suis pas zélée au point d’avoir déjà préparé la valise, mais ça ne saurait tarder!

Ce n’est un secret pour personne: j’aime les «choses futiles et agréables». Pas question, donc, de ne prévoir que le nécessaire. Il faut aussi un peu de superflu si je veux me sentir à l’aise pour les deux jours qu’on passera dans un environnement étranger et (in)hospitalier. Tiens, d’ailleurs, ça me fait penser… est-ce vraiment un compliment de vanter l’hospitalité d’un endroit?

Voici donc où j’en suis avec ma liste, commentée en prime, qui saura peut-être en inspirer d’autres…
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