Monthly Archives: octobre 2004
Bouillon au poulet et miso pour fondue chinoise
31 octobre 2004 | Martine GingrasLe jour où j’ai utilisé pour la première fois de la pâte miso dans ma fondue chinoise a été une véritable révélation. Moi qui avait traditionnellement utilisé la sauce soya, je découvrais une nouvelle manière autrement plus savoureuse de saler le bouillon!
Depuis, j’en ai refait assez souvent (la fondue chinoise étant chez nous un repas automne-hiver dont on mange sans jamais s’en lasser), mais c’est hier, en l’associant à un bon bouillon de poulet fait maison, que ce fut le plus réussi!
Pour les viandes, j’ai choisi de la viande de sanglier (une de nos favorites en fondue) et du poulet. Les sauces au menu: ma classique mayonnaise szechuannaise ainsi que la riche trempette à la crème sure et aux fines herbes, qui avait tant plus à un repas de fondue chez mes beaux-parents il y a deux semaines.
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Pâtes carbonara au canard fumé et au safran
28 octobre 2004 | Martine GingrasTant qu’à donner dans l’entorse au classique (comme avec mes pâtes quasiment carbonara), autant y aller franchement: hier soir, j’ai décidé de refaire un carbonara, mais en y incorporant de la délicieuse chair de canard fumé que j’avais ramenée de mon périple dans la région ce weekend! Le safran, aussi, ajoute une touche unique à cette version du plat. Remarquez, à force de varier de la recette de base, il faudra penser à la rebaptiser un jour…
Comme vous le constatez sur la photo, je suis plutôt généreuse avec le piment d’Espelette (à moins que ça ne soit lui qui soit généreux avec moi… m’enfin…), mais il n’est pas nécessaire d’en mettre autant. Faites les variations qui vous inspirent!
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Roulement de tambour… voici mes topinambours!
26 octobre 2004 | Martine GingrasFlashback: en novembre dernier, mon doux et moi achetions pour la première fois des topinambours et nous adooooorions notre première rencontre avec ce délicieux tubercule oublié.
Après quelques recherches sur le sujet, j’ai découvert que le topinambour est «un tournesol vivace à racine tubéreuse», qui produit un feuillage dense et des tubercules comestibles, et surtout, qu’il est très facile de le cultiver chez soi!
Jusqu’à quel point facile? Eh bien, il aura suffit de sacrifier quelques tubercules achetés au supermarché: au lieu de les cuisiner, nous les avons envoyer valser dans un coin isolé du potager, et c’est tout!
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Canapés de sarrasin au fromage d’Oka et à la pomme
25 octobre 2004 | Martine GingrasToujours dans l’idée de cuisiner un brunch avec des produits de saison provenant de ma région, voici ce que j’ai servi en entrée hier. Le sarrasin a été moulu sur pierre au Moulin Légaré (le plus vieux moulin à eau ayant conservé sa fonction d’origine et encore en opération au Canada – plus d’information par-là), que nous avions visité l’été dernier.
Le fromage d’Oka a été acheté à la boutique de l’Abbaye Oka; ce sont d’ailleurs les frères trappistes d’Oka qui sont à l’origine de la recette du célèbre fromage. Quant à la pomme, elle venait des Vergers Lafrance.
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Frittata de saison aux produits de ma région
24 octobre 2004 | Martine GingrasEn prévision d’un brunch dominical à l’occasion duquel nous recevoins de fins gourmets de Saint-Jean-sur-le-Richelieu, nous avons passé une partie de notre journée de samedi à faire notre habituelle virée gastronomique dans les Basses-Laurentides, allant chercher directement chez les producteurs … Suite
Halloween chic
24 octobre 2004 | Martine GingrasComme à chaque année, j’ai acheté de grosses citrouilles que je décorerai cette semaine en prévision de la soirée du 31 octobre: l’Halloween. J’ai toutefois décidé que la citrouille ne serait pas la seule cucurbitacée qui ferait office de décoration. Oh, bien sûr, on utilise tous abondamment les coloquintes, ces petites courges décoratives non-comestibles, mais pourquoi pas aussi d’autres courges comestibles? Il en existe de nombreuses variétés qui ont des formes hautement décoratives!
Avec mon doux, nous avons donc fait un saut il y a deux semaines vers le Centre d’interprétation de la courge, à Saint-Joseph-du-Lac. Une bonne heure, beaucoup de plaisir et quelques dizaines de dollars plus tard, nous avons quitté l’endroit avec une pleine brouette et deux gros sacs de courges de toutes les formes et les couleurs!
Au retour, j’ai fait le tour du terrain en réfléchissant à la manière d’utiliser mes acquisitions: marches d’escalier dégarnies, boîtes à fleurs vides… il ne fallait pas chercher plus loin!
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